Étienne Deslaumes dévoile les atrocités de la vie de bureau dans son livre
Publié le 14 mai 2012 par Immobilien @dopimmo
Étienne Deslaumes dans un livre intitulé « Journal ambigu d'un cadre supérieur », relate les choses affreuses dans les entreprises en restructuration. L'auteur raconte dans son ouvrage les bassesses d'esprit des employés, les batailles pour le pouvoir et les médisances au sein d'une entreprise qui nuisent à la vie. La société fictive du narrateur est « Minerve Immobilier ». Les inspirations de Deslaumes proviennent de son expérience en tant que cadre dans une société d'assurance durant plus de dix ans. Néanmoins, les situations et les personnages sont fictifs. L'auteur raconte les violences qui règnent partout et la fréquence des conflits au sein de l’établissement. Dans son expérience professionnelle, la société où travaillait l'auteur a vécu un rachat par une autre entreprise. C'est ce facteur qui amène les employés à se mettre dans des conflits plus durs. En effet, il raconte que la situation d'affaiblissement de l'entreprise entraîne celle des employés aussi. Les personnes voulant protéger leurs intérêts dans la boîte font face à une peur qui les enfonce de plus en plus. Dans la société Minerve Immobilier, les différents salariés ne s'entendent plus. En effet, toutes les relations entre les employés ne sont plus sincères et chacun vise ses propres intérêts dans une relation donnée. Les confidences émises par un salarié produisent des arrière-pensées pour d'autres. Les critiques des salariés envers les autres portent sur des questions de jalousies dans le livre d'Étienne Deslaumes. Par exemple « pourquoi a-t-il un bureau plus grand ? Les employés jouent les uns contre les autres. Au début de son ouvrage, l'auteur s'interroge sur la bonté naturelle de l'homme et constate que l'individu n'en possède pas surtout les employés d'une société en restructuration. Il décrit dans ce journal intime que chacun des employés possède des surnoms attribués par ses collègues. Il raconte aussi les différents critiquent émis par les autres sans oublier les portes qui claquent partout...