© Mercedes AMG
Pour le septuple champion Allemand, ces pneus sont les pires de l’histoire de la F1. Et certains pilotes partagent de plus en plus son avis.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas tout a fait tort. Il y eut une époque, pas encore trop lointaine, des débuts de 70′s jusqu’aux années 80, ou on trouvait jusqu’à 4 manufacturiers: Avon, Good Year, Michelin, Pirelli, et je crois même qu’une année une équipe Japonaise était venu avec des Dunlop.
Chaque manufacturier avait ses avantages et inconvénients, ce qui faisait vraiment la joie des stratèges de l’époque, et permettait à la hierarchie d’être vraiment respectée. Cela étant, cette année, effectivement, les Pirelli sont une véritable ca-la-mi-té. Enlevant une seconde place en début de saison à un Räikkönen-Phoenix, otant la victoire des mains d’Alonso à Silverstone, on peut dire, qu’avec les pneus Avon des années 80, que les Pirelli cru 2012 sont les pires pneus de l’histoire de la F1, les pilotes en étant réduit à une course d’usure, ou celui qui aura préféré la performance se verra irrémédiablement décroché au classement, tandis que celui qui aura passé son temps à chouchouter ses pneus se verra remporter une victoire parfois imméritée.
sur F1i on peut lire les réactions de Schumi:
« Peu à son aise avec les gommes Pirelli avec lesquelles il a l’impression de “rouler sur des œufs”, le septuple champion du monde a justifié sa position en affirmant que les pilotes disposeraient ainsi de “pneus corrects” »
Ce qui n’est pas faux.