Une fois de plus l'opacité la plus totale recouvre un lieu du monde où des conflits d'intérêts géo-politco-stratégico-économico sont semble-t-il la seule réalité ? Bachar el-Hassad est-il vraiment ce monstre absolu qu'on veut nous présenter ? J'en doute fortement, bien que le régime syrien soit une "nébuleuse claniquofamiliale assez effrayante (cf. voir ci-dessous dossier de France Inter M.X). J'en doute quand même tout comme je doute de l'angélisme, de la "virginité" d'Abdullah Güll le Président turc actuel, de celui & de celle de Barack Obama ainsi que de celui & de celle de Hamad ben Khalifa Al Thani émir du Qatar principal bailleur de fond pour l'entretien de cette pseudo ASL (armée syrienne de libération) qui n'est en réalité qu'un ramassis de mercenaires (* cf. photo ci-dessous), les mêmes qui sont employés depuis quelques années déjà dans les conflits officiels de l'Iraq en passant par la case Afghanistan et dont l'organisation est souvent confiée à l'efficace "Centrale" étasunienne... Très pratique pour des états "respectables" engagés dans des conflits quand on veut éviter des chiffres, des décomptes macabres, des comptes-rendus pas très jojo à une opinion publique.
Une fois de plus c'est lamentable. On est abreuvé de nouvelles de l'AFP, d'autres réseaux "d'information" aussi, mais plus que douteuses et c'est le moins que l'on puisse dire. Qui nous dira ce qu'il se passe vraiment en Syrie ? Ce qu'il s'y passe et pourquoi.Comment en est-on arrivé là ? Un peuple souffre une fois de plus. Il est la seule victime, mais je voudrais bien qu'une commission d'enquête indépendante onusienne, sérieuse, nous prouve qu'il n'y a qu'un seul bourreau, désigné à tous depuis des mois. Pratique les salauds officiels, après Saddam Hussein et Kadhafi, pratique d'avoir la cible Bachar en ligne de mire.