Petite confession (qui n’en est pas vraiment une).
Du temps où je faisais une véritable fixation sur les têtes blondes, Pierre Mosey S. avait attiré mon attention.
Que voulez-vous ? On a tous des étiquettes, parfois très éloignées de nos réalités mais je ne suis pas la pour le défendre. Ceci dit, qu’est-ce qui dans l’absolu, empêche un fils d’ex-président français de droite d’aimer le Hip Hop ? Question rhétorique, je vois très bien le paradoxe mais ça ne me pose pas spécifiquement de problème qu’il “s’encanaille” (puisque c’est perçu de la sorte). De toute façon, entre temps, il s’est tourné vers la House, ce qui posera sûrement moins de problèmes de cohérence pour beaucoup, je suppose, ce style musical étant plus proche de son rang social (House = Musique favorite de la jeunesse dorée parisienne d’après je ne sais plus qui, on s’en fout).
Quelques extraits qui m’ont fait sourire:
” (In Atlanta) I discovered this underground hip-hop scene, and their style,” he says, noting that he had heard the music but didn’t know it could be an entire lifestyle on the other side of the Atlantic. “I came back to Paris with the baggy pants and the do-rag, and I got a bunch of my friends at school to start a hip-hop band with me. The band was so bad no one wanted to do instrumentals for us, so I started to do it myself,” he laughs. “Which I liked much more, to be behind the scenes. “
“I’ve always thought style should be a way to express yourself, but not something that you’re devoted to. It’s like what we say about money: It’s a good servant, but a bad master.”
Retrouvez l’intégralité de l’interview ici.
*Non, je ne suispluspas une groupie.