RAL Pure Color Estée Lauder : ma trouvaille des soldes !

Depuis quelques temps, je suis comme obsédée par les teintes orangées… J’ai commencé une collection de vernis à ongles, de fap, et j’achète de plus en plus de fringues dans ces tons. C’est donc tout naturellement que je me suis mis en tête de trouver un rouge à lèvres corail. Comme j’ai raté le début des soldes, j’y suis allée la semaine dernière sans conviction : ces teintes sont à la mode, il ne doit pas y en avoir beaucoup en soldes et, s’il y en avait, elles sont sûrement parties dès le début, pendant que je me la coulais douce au soleil). Bref, j’ai eu de la chance, puisque chez Marionnaud je suis tombée sur cette merveille, le Pure Color d’Estée Lauder, dans la teinte Orange Poppy.

C’est mon tout premier produit Estée Lauder, je ne savais donc pas du tout à quoi m’attendre. Je trouve le packaging très classe. Le capuchon est doré, le tube coloré, c’est frais et raffiné, et je le repère tout de suite au milieu de mes produits. Le logo Estée Lauder est très beau, très élégant.

La teinte est PILE celle que je cherchais. C’est corail, limite orangé, mais pas fluo non plus. Je le porte de jour sans problème, moi qui ne suis pas habituée aux RAL.

Comme vous le voyez, le raisin est plat. J’ai eu du mal à m’y habituer, et je dois avouer que ce n’est pas encore ça ! Je trouve cette forme plus jolie, mais moins pratique, il me faut plus de temps pour obtenir un contour propre.

Le nom complet de ce petite trésor est Pure Color Gloss Stick. J’ai eu un peu peur quand j’ai lu « gloss » : plus ça va et moins j’aime en porter, je trouve le gloss très désagréable. Ça colle, ça ne tient pas, on s’en met partout (un coup de vent et hop, on a les cheveux collés sur les lèvres…). Heureusement, ce rouge à lèvres n’a, à mon sens, rien du gloss. Et c’est tant mieux ! Certes, il brille, mais moins qu’un gloss. Il n’est absolument pas collant, la texture est très agréable et la couleur intense. Niveau tenue, c’est moyen. Sans boire et sans manger, il tient environ 1h/1h30 sur moi, je suis obligée d’en remettre assez souvent.