Une étude réalisée par l'Institut d'écologie de Berlin vient d'être publiée dans la revue scientifique "Environmental Pollution", et montre que les fruits et légumes cultivés au centre ville peuvent être considérablement enrichis en polluants, tout particulièrement ceux produits dans les zones où le trafic routier est élevé. D'après les analyses scientifiques les taux de concentration varient considérablement pour une même espèce. De fait il est très difficile, voir impossible, d'identifier quelles seraient les espèces sensibles aux polluants et quelles seraient les plus résistantes.
Les résultats pour la ville de Berlin montrent que les échantillons qui présentent un taux de polluants moins élevé correspondent à des plantations localisées dans des zones urbaines où se trouvent certains obstacles limitant la contamination par les métaux lourds, tels que la présence d'une végétation dense, des plantations régulières d'arbres le long des allées ou une quantité non négligeable de jardins privés.
Source : notre-planete.info