Common Law // Saison 1. Episode 8. Joint Custody.
Comme chaque semaine, Common Law laisse la part belle au fun et à l'esprit "esbroufé". Ce que j'aime beaucoup dans cette série c'est évidemment la confrontation de Travis et de Wes. Ils sont
amis, partenaires, et pourtant, rarement d'accord. Ils ressemblent la plupart du temps à une version plus acrobatique des Bidochons. Mais c'est aussi pour cela que l'on ne peut que les aimer.
Cette bromance, voire amour non avoué (je suis sûr qu'une fanfiction de ce genre pourrait voir le jour si Common Law était devenue une série à gros succès), est agréable à suivre et jamais
méprisante. Le téléspectateur se sent facilement impliqué dans les frasques de nos héros qui ne manquent pas de nous amuser (évidemment). "Joint Custody" ne déroge pas à la règle. Evidemment cet
épisode parvient à nous offrir le divertissement dont on avait besoin. Dans un premier temps parce que l'on insère (encore ?) un élément intéressant entre le duo : un chien.
Afin de faire évoluer leur thérapie (ou plutôt de justifier qu'elle évolue), Travis et Wes vont avoir la garde temporale d'un chien renifleur de drogue appelé Hudson alors que son propriétaire
est blessé lors d'une opération. C'est un bon moyen pour d'une part créer la discorde entre les deux personnages. En effet, Travis et Wes veulent une garde partager. C'est fou, parce qu'ils vont
découvrir dans un second temps que ce chien peut aussi être une vraie plaie pour eux dans leur vie quotidienne (notamment quand Travis est en couple, entre autre). J'ai trouvé l'histoire amusante
et pour une fois cela change des devoirs de la semaine de notre très chère thérapeute. J'ai même retrouvé un peu de l'ambiance de Psych. Wes n'a toujours fait pensé à une sorte de Gus dans Common
Law de toute façon. Et c'est ce qui le rend encore plus fun et amical. Mais Wes est aussi le plus touchant, quand Travis est là pour nous faire rire tout le long des épisodes.
Note : 5.5/10. En bref, un s'amuse encore et encore.