Quand c'est l'heure...

Aujourd’hui, j’ai répondu “c’est clair” à mon collègue, j’ai envoyé un mail incompréhensible un peu franglais à mon banquier et j’ai même dit “pardon” à mon voisin dans le bus… Si le corps n’y est pas encore (il lui faudra avant affronter plus de 24 heures interminables plié en deux), la tête semblerait être déjà arrivée à destination.

Alors voilà, on part en France demain matin pour trois semaines. Le temps de profiter de l’été et d’une bonne dizaine de litres de rosé bien frais !