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La présidence: quand la "gauche" se rétracte...

Publié le 12 juillet 2012 par Marigotine

 

             François au pays des ours bruns ....

   Un brin ridicule, comme "dab" la cravatte  légèrement à "droite" le poignet de sa chemise bras gauche absorbée par la manche de son veston....

    Ecoute François, je n'ai pas pour habitude d'avoir la moquerie au bord de la souris, mais là franchement tu nous mets  "Royalement" la honte ! De plus la presse britannique ne t"épargne pas non plus.

Sévère. La presse britannique ne semble pas avoir été séduite par François Hollande, en visite mardi outre-Manche. Plusieurs quotidiens ont choisi cette photo sur laquelle le président apparait minuscule à côté d'un garde d'honneur. François Hollande disait mardi qu'il appréciait l'humour et «surtout l'humour britannique». La presse britannique elle, ne rit pas lorsqu'il s'agit de commenter sa première visite officielle. Elle n'hésite pas à souligner, ce mercredi, les sujets qui opposent le président français au premier ministre David Cameron. Le Financial Times rappelle entre autres le «clash» sur la taxe à 75% pour les plus riches. Pour le quotidien économique, cette visite, «censée réparer la relation» entre François Hollande et David Cameron, n'a pas eu l'effet escompté et n'a pas permis de «dissimuler complètement les tensions entre les deux pays»." border="0" />


Sévère. La presse britannique ne semble pas avoir été séduite par François Hollande, en visite mardi outre-Manche. Plusieurs quotidiens ont choisi cette photo sur laquelle le président apparait minuscule à côté d'un garde d'honneur. François Hollande disait mardi qu'il appréciait l'humour et «surtout l'humour britannique». La presse britannique elle, ne rit pas lorsqu'il s'agit de commenter sa première visite officielle. Elle n'hésite pas à souligner, ce mercredi, les sujets qui opposent le président français au premier ministre David Cameron. Le Financial Times rappelle entre autres le «clash» sur la taxe à 75% pour les plus riches. Pour le quotidien économique, cette visite, «censée réparer la relation» entre François Hollande et David Cameron, n'a pas eu l'effet escompté et n'a pas permis de «dissimuler complètement les tensions entre les deux pays». Crédits photo : CHRIS HARRIS/AFP C'est comme je vous le disais plus  haut Le poignet de sa manche de chemise coté gauche....
La cravatte qui se barre à droite.....
François, serais tu tiraillé, même dans ta tenue vestimentaire, par un conflit gauche/droite ?

Tête-à-tête royal. Après l'amitié franco-allemande, l'Entente cordiale franco-britannique… Deux jours après avoir été main dans la main avec Angela Merkel à Reims pour célébrer les 50 ans de la réconciliation orchestrée par Konrad Adenauer et le général de Gaulle, François Hollande a traversé la Manche pour entretenir ses bonnes relations avec Londres. Après une rencontre au 10 Downing Street avec le premier ministre David Cameron, le président de la République devait prendre la direction du château de Windsor où l'attendait sa Majesté la reine Elizabeth II. Il s'agit de la première visite officielle du président français au Royaume-Uni, sur fond de discussions sur des sujets de divergence comme l'Europe et la fiscalité." border="0" />   Après l'amitié franco-allemande, l'Entente cordiale franco-britannique… Deux jours après avoir été main dans la main avec Angela Merkel à Reims pour célébrer les 50 ans de la réconciliation orchestrée par Konrad Adenauer et le général de Gaulle, François Hollande a traversé la Manche pour entretenir ses bonnes relations avec Londres. Après une rencontre au 10 Downing Street avec le premier ministre David Cameron, le président de la République devait prendre la direction du château de Windsor où l'attendait sa Majesté la reine Elizabeth II. Il s'agit de la première visite officielle du président français au Royaume-Uni, sur fond de discussions sur des sujets de divergence comme l'Europe et la fiscalité. Crédits photo : OLIVIA HARRIS/Reuters Oh! miraculos.....    Un petit cm qui dépasse!
C'est parti. La photo de famille a été faite lundi soir. La croissance est le maître-mot retenu par les chefs d'État et de gouvernement du G20 réunis à Los Cabos au Mexique et qui doivent publier mardi une déclaration commune. «Nous nous engageons à adopter les mesures nécessaires pour renforcer la demande, soutenir la croissance mondiale et restaurer la confiance», affirment ces pays riches et émergents dans un projet de communiqué. «Une croissance forte, durable et équilibrée reste la priorité numéro un du G20, car elle amène une création d'emplois plus importante et accroît le bien-être des peuples dans le monde entier», ajoutent-ils." border="0" />  La photo de famille a été faite lundi soir. La croissance est le maître-mot retenu par les chefs d'État et de gouvernement du G20 réunis à Los Cabos au Mexique et qui doivent publier mardi une déclaration commune. «Nous nous engageons à adopter les mesures nécessaires pour renforcer la demande, soutenir la croissance mondiale et restaurer la confiance», affirment ces pays riches et émergents dans un projet de communiqué. «Une croissance forte, durable et équilibrée reste la priorité numéro un du G20, car elle amène une création d'emplois plus importante et accroît le bien-être des peuples dans le monde entier», ajoutent-ils. Crédits photo : BERTRAND LANGLOIS/AFP
Commémorations. Après la cérémonie du 8 mai, c'est son deuxième acte symbolique en tant que président de la République élu. Dans le jardin du Luxembourg, en présence du président PS du Sénat, Jean-Pierre Bel, et du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, François Hollande s'est rendu à la 7e commémoration de l'abolition de l'esclavage. «Je voulais donner ce message de rassemblement autour de nos mémoires et de ce qu'est notre histoire», a déclaré le président élu en marge de la cérémonie au cours de laquelle il n'a pas pris la parole. «J'étais heureux de me retrouver au milieu des autorités de la République, de jeunes et de représentants des divers pays, car la traite, l'esclavage ont été hélas des phénomènes mondiaux», ajoute le chef de l'Etat. François Hollande entend aussi envoyé un message aux jeunes générations. «L'histoire de l'esclavage a longtemps été occulté. Et pour des générations, la mienne notamment, n'était transmis que l'abolition et pas ce qui s'était produit avant, c'est-à-dire l'esclavage lui-même»." border="0" />  Après la cérémonie du 8 mai, c'est son deuxième acte symbolique en tant que président de la République élu. Dans le jardin du Luxembourg, en présence du président PS du Sénat, Jean-Pierre Bel, et du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, François Hollande s'est rendu à la 7e commémoration de l'abolition de l'esclavage. «Je voulais donner ce message de rassemblement autour de nos mémoires et de ce qu'est notre histoire», a déclaré le président élu en marge de la cérémonie au cours de laquelle il n'a pas pris la parole. «J'étais heureux de me retrouver au milieu des autorités de la République, de jeunes et de représentants des divers pays, car la traite, l'esclavage ont été hélas des phénomènes mondiaux», ajoute le chef de l'Etat. François Hollande entend aussi envoyé un message aux jeunes générations. «L'histoire de l'esclavage a longtemps été occulté. Et pour des générations, la mienne notamment, n'était transmis que l'abolition et pas ce qui s'était produit avant, c'est-à-dire l'esclavage lui-même». Crédits photo : FRANCOIS MORI/AFP
Ils l'ont attendu, il est arrivé... Il est 0h40 place de Bastille. Ils avaient patienté en écoutant Yannick Noah, Anaïs ou Axel Bauer et vu défiler tout le futur gouvernement, Jean-Marc Ayrault, Pierre Moscovici, Bertrand Delanoë… Et soudain François Hollande est monté sur scène après un retour de Brive en avion privé et un trajet rapide du Bourget en voiture, poursuivi par les motos des télés et des photographes. «Vous êtes une foule immense, a lancé le nouveau président. Moi, je vous ai entendus, j'ai entendu votre volonté de changement. Je veux vous exprimer ma gratitude. Merci peuple de France. Merci de m'avoir permis d'être votre président de la République.» La Bastille l'acclame, des pétards explosent. Hollande profite. Il sourit, salue la foule, pense à François Mitterrand. «Je voudrais vous dire mon émotion, ma fierté d'être le président de tous les citoyens. Les responsables socialistes se pressent ensuite autour de lui pour entonner la Marseillaise, dont sa compagne Valérie Trierweiler." border="0" />  Il est 0h40 place de Bastille. Ils avaient patienté en écoutant Yannick Noah, Anaïs ou Axel Bauer et vu défiler tout le futur gouvernement, Jean-Marc Ayrault, Pierre Moscovici, Bertrand Delanoë… Et soudain François Hollande est monté sur scène après un retour de Brive en avion privé et un trajet rapide du Bourget en voiture, poursuivi par les motos des télés et des photographes. «Vous êtes une foule immense, a lancé le nouveau président. Moi, je vous ai entendus, j'ai entendu votre volonté de changement. Je veux vous exprimer ma gratitude. Merci peuple de France. Merci de m'avoir permis d'être votre président de la République.» La Bastille l'acclame, des pétards explosent. Hollande profite. Il sourit, salue la foule, pense à François Mitterrand. «Je voudrais vous dire mon émotion, ma fierté d'être le président de tous les citoyens. Les responsables socialistes se pressent ensuite autour de lui pour entonner la Marseillaise, dont sa compagne Valérie Trierweiler. Crédits photo : THOMAS COEX/AFP

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