F1 / Y a t-il un « problème » Maldonado ?

Publié le 12 juillet 2012 par Khymo1 @actumoteurs

© LAT / Williams

Le bulldozer, tel serait un des surnoms potentiels pour Pastor Maldonado, le bucolique pilote payant Vénézuelien, qui, il semblerait ne fait cure de l’esthétique de la carrosserie de ses adversaires, a un tel point que des bruits de paddocks disent de lui qu’il ferait mieux de s’engager en Nascar. [ Quoique même en Nascar, bien qu'à la base c'est une discipline de stock-cars, on ne peut pas y faire n'importe quoi non plus ]

Les deux dernières victimes en date: Lewis Hamilton (qui certes était arrivé quasi sur la jante tellement ses pneus étaient  morts), et ici, dernièrement, le redoutable petit Mexicain, Sergio Pérez de chez Sauber, dont il atomisé la course en le percutant. Alors, Pastor, qui a quand même remporté une victoire cette année, reste un des moins pires pilotes payants, avec de réelles capacités de pilotage, ce que je ne remets absolument pas en cause.

Maintenant, ce qui me gêne chez ce pilote, c’est le manque de respect vis a vis des autres véhicules, ou, comme à Valence, on voit bien (Vidéos de la Sky Sports ) qu’il tourne ses roues vers le mur et Hamilton, de manière à le crasher, vraisemblablement. Pour Pérez, c’est une faute de pilotage du Vénézuelien, qui, au contraire de Bruno, semble détester la pluie. Rappellons nous aussi au début d’année, ou il flingue des points de l’écurie Williams en se crashant tout seul.

Pilote « hautain », « dédaigneux », « dangereux » selon les uns et les autres des pilotes, il semblerait que Pastor ait fait le vide autour de lui vis a vis des drivers, qui le craignent maintenant sur la piste, mais pas pour ses performances, pour son comportement!

A voir maintenant si le team Williams va travailler en ce sens pour aider un pilote, qui, pourtant, semble avoir un certain potentiel, mais qui a par contre l’air de se fiche royalement de ses adversaires. Dommage, car en faisant celà, il rate de précieux points au championnat.. Me rappelle Juan Pablo Montoya -époque Mc Laren- d’ailleurs …