Le 29 juin dernier a été un grand jour pour le patrimoine architectural chrétien. Si les Nations Unies ont davantage eu tendance au cours des dernières décennies à promouvoir la culture de mort qu’à défendre les chrétiens persécutés, on ne peut que se réjouir de la décision de l’UNESCO de classer l’église de la Nativité de Bethléem au patrimoine mondial.
« Problème » : Bethléem est située en Palestine, territoire au statut international contesté, ce qui n’a pas manqué de faire réagir violemment Israël contre cette décision. L’Etat hébreu a donc exprimé son refus de voir l’église apparaître dans la liste des monuments indispensables à la compréhension de l’histoire du monde, appuyé des Etats-Unis.