Un peu plus loin, dans ce numéro 4, Yann Moulier Boutang invite, comme il le fait de numéro en numéro,à libérer l’imagination pour n’être pas pris aux pièges d’un marché mené par une tyrannie des marges.
Et nous plongeons avec Dominique Conil au cœur d’un village, de la vie dans une ferme, d’un éleveur qui aurait laissé mourir ses troupeaux. Dépression et détresse humaine. Le contraire du « bonheur est dans le pré ». Ce sont les « Accidents de la vie ».