[Critique] To Rome with love

To Rome with love est le dernier film de Woody Allen dans lequel il revient à l’écran après quelques années d’absence, en compagnie d’Alec Baldwin, Jesse Eisenberg, Ellen Page, Penélope Cruz, Roberto Benigni, Judy David, Greta Gerwig, Antonio Albanese, Fabio Armiliata, Alessandra Mastronardi, Ornella Muti, Flavio Parenti, Alison Pill, Carol Alt et Alessandro Tiberi. Le film est sorti dans les salles obscures le 4 juillet 2012.

Le pitch :

4 histoires d’amour et d’infidélités à travers les ambitions de 6 couples, tous réunis dans la ville éternelle : Rome.

Ma critique :

Après Paris, Barcelone et Londres, Woody Allen nous donne rendez-vous dans une nouvelle grande ville européenne, la belle Rome. On pourrait se demander pourquoi est-il aussi attiré par l’Europe et pourquoi aujourd’hui s’arrête-t-il à Rome. Woody Allen répondra que la ville le lui a demandé et a payé le film. C’est vrai qu’il n y a pas meilleure publicité pour le tourisme. Monsieur Allen sait concentrer toutes les merveilles d’une cité et ses meilleurs clichés en l’espace d’un peu moins de deux heures. Ici, nous pouvons donc assister à de belles rencontres très romantiques, aux traditions familiales sacrées pour les italiens, à de belles scènes de cinéma et tout ce qui l’entoure et à de superbes concertos d’opéra. Le maître-mot dans ce film est l’absurde. En effet, vous verrez que les moments les plus drôles sont causés par une absurdité déconcertante. Vous retrouverez, bien sûr, ses éternelles angoisses sur la mort ainsi que ses crises hypocondriaques, dans le personnage de Woody Allen. Les acteurs s’intègrent tous parfaitement à l’univers d’Allen, je me demande même pourquoi il n’avait pas pensé plus tôt à Roberto Benigni pour un de ses films. En définitive, pour les vacances ou juste pour un week-end, faîtes escale à Rome !

@Marion