Vérité Justice et les 7 juges

Publié le 07 juillet 2012 par Veritejustice @verite_justice

Racontons nous une histoire véridique mais changeons quelques noms

Mise en situation: Je vais vous raconter une histoire qui sera loin d’être celle de Blanche Neige et les 7 nains alors que la mienne est véridique et implique à ce jour 7 juges de la cour supérieure du Québec.

Un huitième juge devra donc démontrer le 11 juillet 2012 que la justice est intègre et qui soit susceptible de promouvoir la confiance du public en la magistrature.

Il était une fois, un citoyen nommé Vérité Justice qui fonda un blogue suite à une visite d’un lutin envoyé pour le menacé lui et sa famille de représailles de la part de son ex employeur.

Lorsque Vérité Justice mit son blogue en ligne, il dénonça l’évasion fiscale, la mise en danger de mort d’employés de livraison ainsi que le harcèlement psychologique qu’il vécu à son travail par son directeur général.

Le Roi de Terrebonne engagea donc ainsi l’avocat Clicquot dans le but de demander un injonction permanente contre Vérité Justice afin de le bâillonner pour qu’il cesse de dénoncer les actes illicites de l’entreprise.

L’avocat Cliquot défendant habituellement la sève des érables ne savait pas trop comment s’y prendre pour faire taire Vérité Justice accepta tout de même le mandat.

Cliquot due donc se reprendre 3 fois alors que:

- La première fois il fit 4 erreurs et inclus une fausse preuve pour mettre du poids sur ses écrit. Cliquot citait que Vérité Justice dénonçait un congédiement

- La deuxième fois il corrigea ses 4 erreurs, laissa la première fausse preuve et en ajouta 3 supplémentaires. Cette fois Cliquot laissa ses allégations de congédiement en place mais ajouta que Vérité Justice faisait chanter le Roi de Terrebonne.

- La troisième fois et ce sur 46 jours il amenda encore son parchemin en écrivant que Vérité Justice est quérulent mais sans en demander formellement au tribunal de requête à cet effet.

Afin de mettre encore plus de poids sur ses allégations Cliquot demanda à C.A.  gérant du Roi de Terrebonne de remplir des affidavits pour appuyer ses mensonges et fausses allégations.

C.A. était le diminutif donné au gérant car il était comptable agrée de formation.

C.A. savait compter mais ne savait pas vraiment comment mentir alors que dans des 3 affidavits il changea sa version à plusieurs reprises allant même jusqu’à déclarer solennellement le contraire de ce que Cliquot citait dans ses requêtes

Prenons par exemple l’endroit ou Cliquot cite un nombre de 8 employés, après s’être corrigé suite aux recommandations de Vérité Justice mais ou C.A. continua d’écrire 10 dans son affidavit.

Quand un gérant et son avocat n’ont pas la même version il faut habituellement en conclure qu’un des 2 ment!

LES 7 JUGES

Le premier juge

Alors que l’hiver faisait rage, janvier 2012, Vérité Justice passa devant le premier des 7 juges. Lors de cet étape l’avocat Cliquot bien qu’avisé 13 fois de ses fausses preuves, mettait de l’ampleur sur ses dernières afin d’influencer le juge.

L’avocat Cliquot réusssissait tellement bien son cirque que le juge ordonna que les fausses preuves soient soumisses à la gendarmerie de Montréal pour examen soit en langage claire faire accuser Vérité justice d’un crime.

Pourtant Vérité Justice citait et démontrait les fausses preuves mais le mal était fait et le juge avait prit parti avant que Vérité Justice parle.

Le deuxième juge

10 jours passa avant de passer devant le deuxième juge qui contrairement au premier remarquait que Vérité Justice n’avait jamais contesté un congédiement mais qu’il dénonçait bien l’évasion fiscale, la mise en danger de mort des employés de livraison ainsi que le harcèlement psychologique en entreprise.

Vérité Justice voyant que le premier juge n,avait pas comprit que la poursuite était dans le but de le bâillonner déposa les faits par écrit devant le deuxième juge.

Le troisième juge

Vers  la fin du mois de Mars 2012, Vérité Justice passa devant un troisième juge qui ce dernier demanda à Vérité Justice de faire le ménage des document que le tribunal avait en sa possession car le contenu de la boite était mélangé.

Le troisième juge fut surpris de constater qu’effectivement Vérité Justice avait déposé sa requête en poursuite-bâillon mais ne l’écouta pas pareil et ce meme si ce dernier invoquait que le tribunal était mit en erreur à cause des fausses preuves et parjures de C.A.

Le quatrième juge

7 jours passa avant de passer 5 minutes devant le quatrième juge qui lui décida de reporter la cause au mois de juillet 2012 sans vouloir entendre Vérité Justice concernant les fausses preuves et les parjures de C.A.

La gendarmerie de Montréal

Après 4 juges de la cour supérieure du Québec, Vérité Justice rencontra la gendarmerie de Montréal puisque lorsqu’il avait constaté que les fausses preuves étaient autorisé au Palais de Justice

Vérité Justice avait porté plainte à la gendarmerie dès qu’il avait passé devant le premier juge en janvier 2012.

Bizarrement sans potion magique et simplement en expliquant les faits à 2 enquêteurs, Vérité Justice reçu, quelques heures après sa rencontre, un beau manuscrit de la part des enquêteurs de la Gendarmerie.

Cliquer ici pour voir le manuscrit   Comme qui dirait OUCH 4 juges n’avaient pas voulu entendre ce que la gendarmerie constatait.

Le cinquième juge

Constatant que la gendarmerie voyait ce que la justice refusait de constater, Vérité Justice s’appuyant sur le fait que la poursuite n’était pas dans le bon compté demandait un transfert du dossier vers un endroit ou justice pourrait être rendue.

Vérité Justice citait même à sa requête le doute de partialité des juges de Montréal envers la partie représentée par l’avocat Cliquot

Le cinquième juge ne demandant pas à Cliquot les raisons pour lesquelles il avait introduit sa procédure dans le mauvais compté répondit à Vérité Justice qu’un juge était un juge et que  le dossier serait entendu dans le mauvais compté.

Le sixième juge

Considérant alors les fausses preuves ainsi que les parjures de C.A. étaient des crimes punissable selon la loi, vous savez celle que les juges sont sensées appliquer, Vérité Justice demandait formellement au tribunal de s’impliquer à la justice.

Vérité justice n’eut comme seule réponse qu’il fallait bien qu’un procureur accueil la plainte et que cela ne voulait pas dire que des accusations seraient portées contre l’avocat Cliquot et son complice C.A.

Vérité Justice se mit alors à penser à ces paroles de la gendarmerie de Montréal….

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