A vrai dire, nous ne sommes pas allés au Douhet par nostalgie pour le film Liberté Oléron, ni même pour voir le port de plaisance ou le vert de l’océan. Du moins, pas que. Le but de la balade, c’était le marais. Un marais comme on l’entend sur cette île en partie poldérisée, c’est-à-dire créé par l’homme. De grands rectangles d’eau … :
… alimentés par des petits canaux ouverts ou fermés par des écluses :
Classique, en somme. Tout comme les aigrettes, les hérons, et les pêcheurs, tous trois attendant que ça morde. Plus original fut cet oiseau-là :
Après quelques tâtonnements sur internet, j’ai supposé qu’il s’agissait d’une échasse blanche, mais le volatile n’était point sur ses pattes, que l’on dit fines, longues et rouges, et cet indice manque .
Un marais comme les autres ? faut voir. Un peu psychédélique au final, j’ignore s’il s’agit d’une algue inoffensive ou du résultat d’une quelconque pollution, mais la couleur est là :