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- Féria d’Arles - Première Corrida - El Cid Exécute son deuxième Toro ! -
Pris le 21 Mars 2008 sur le site de mon ami Rimbus
Triste Spectacle, je ne l’approuve pas mais je respecte la différence de mon ami sans jugement… Vous avez tous compris, vous qui me suivez depuis un certain temps sur ce site que je ne suis pas pour la Corrida et la mise à mort du Toro ! Je pense qu’il serait bien effectivement que l’ être humain évolue un peu plus à ce sujet comme pour pleins d’autres causes qui méritent elles aussi toute notre attention. Arles représente un potentiel énorme du point de vue de sa richesse et de son emplacement géographique. Il y aurait tant d’autre choses à entreprendre autour de la Féria, sans continuer cette absurde souffrance pour le Toro comme pour l’homme. Je ne pense pas qu’il est dans la nature de l’être humain de chercher à faire souffrir. C’est la propre souffrance de l’homme qui l’amène à une certaine dureté vis à vis de lui même de ses proches parfois, ainsi qu’envers nos amis les animaux… L’homme a besoin de l’arène, comme dans l’ancien temps il partait à la guerre. Il parrait que l’odeur du sang est enivrante et que le combat fortifie les muscles et rends l’homme plus apte à supporter sa condition si précaire. En ce qui me concerne, je ne le crois pas et m’en remets à cette sitation de Lao-Tseu :
«L’homme vient au monde tendre et souple, à sa mort il est dur et figé. Les plantes fraiches sont délicates et pleine de vie. A leur mort elles sont rèches et désséchées. Le figé et l’inflexible sont donc l’élève de la mort, tandis que le doux et le souple sont l’élève de la vie. Ainsi une armée qui ne sait s’adapter ne remporte jamais une bataille. Un arbre qui ne plie pas se brise facilement. Ce qui est dur et fort passera, ce qui est doux et faible durera».