La blogoshère est certainement une grande
famille qui, lorsqu'elle ne se tire pas quelques balles
dans les pattes sais se rassembler et ne former qu'un
face à la soif d'argent de justice excessive d'un acteur
sur le déclin.
Dans notre société, qui s'"américanise" de plus en plus, notamment au travers de tout ce qui relève des recours abusifs de l'outil pénal dans le
cadre d'affaires aussi insignifiantes que grotesques, ou bien encore interressées ( d'un interessement ), telles que celles du type "J'ai glissé sur une frite, y'a moyen que j'en retirre
plus qu'une jambe cassée...", il semble que le web soit particulièrement exposé et représente pour certains, un formidable sac de fric.
Et bien oui, figurez-vous que, comme de nombreux blogueurs je n'aime pas Olivier Martinez et qu'à lui, je préfère peut être même la douce voix de Lara. Un Martinez qui a réussi a trouver une
certaine popularité qu'il cherchait peut être, mais une popularité dont ici, pensons-nous, il se serait bien passé.
Véritable tête de turc ( non Monsieur Martinez, je ne remets pas en cause vos origines portugaises ancestrales...) de la blogosphère depuis quelques jours suite aux poursuites engagées à
l'encontre du "blogueur Eric" , l'acteur aux 1000 et 1 film est devenu bien malgrés lui, l'objet d'un buzz...
Bien entendu, au delà de ce qu'a d'inutile cette attaque, l'affaire intervient comme une menace pour l'extraordinaire liberté d'expression que
représente le web; un espace par lequel chaque jour, des centaines de milliers de personnes partagent et échangent sans penser un seul instant, pouvoir porter atteinte à l'intégrité et
aux libertés d'autres individus.
Une affaire qui peut, si elle aboutit à une victoire du plaignant, remettre en cause le principe même du web2.0. qui repose avant tout sur la collaboration et la reprise de contenu, vias les flux
RSS, comme le précisait Eric Dupin dans un article du Figaro.
+ d'affaire Martinez...
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