« On n’est pas au pays des bisounours à Marseille et en France. L’OM a terminé 10e l’an passé et ce n’est pas sans conséquences financièrement. D’autant qu’il y avait déjà beaucoup de difficultés pour supporter le coût des mercatos précédents et les travaux du stade, la situation n’est pas facile, on le reconnaît mais on est transparent par rapport à nos comptes. Et nous avons surtout la chance d’avoir une actionnaire qui a fait des efforts colossaux lors du dernier passage devant la DNCG et sans lesquels on ne serait pas là aujourd’hui. Avec les baisses de recettes TV, en Champions League et en billetterie, nous sommes obligés de baisser la voilure » a-t-il expliqué sur le site officiel de son club.
« Il ne faut pas rêver les yeux ouverts et ne pas faire n’importe quoi : les ventes devront être supérieures aux achats mais cela n’empêche pas que l’OM sera l’un des trois plus gros budgets de France et avec une unité pour faire en sorte d’avoir les meilleurs résultats possibles » a-t-il précisé.