Dans la série lu sur le net, cet article, sur Presseurop : Cette économie qui n'aime plus les jeunes.
Le sous-titre précise : Pour la première fois dans l'histoire des sociétés d'après-guerre, les jeunes diplômés doivent s'attendre à vivre moins bien que leurs parents. Essoufflé, le modèle économique occidental ne parvient pas à exploiter la maîtrise technologique de cette génération perdue.
Personnellement, je me rends compte qu'effectivement, j'ai toujours fait avec cette crise.
Toujours trouvé que c'était difficile pour les jeunes.
Qu'ils n'étaient pas très bien accueillis, ou alors par le bas, avec défiance.
Et je trouve que ça continue.
J'ai eu la chance, personnellement, de pouvoir faire du chemin mais nombre de fois, j'ai eu le sentiment que c'était en passant entre les gouttes plutôt qu'en bénéficiant d'une manière de faire prévue, organisée, etc.
Du coup, je me retrouve aussi dans cet autre article, sur le site du Monde Diplomatique : La crise de 2008 a commencé il y a 40 ans.
Le sous-titre dit ceci : Utilisée sans relâche pour décrire l’aggravation de la situation économique et financière depuis 2008, la notion de crise sous-entend le dérèglement intempestif d’un système pérenne. Il suffirait alors de corriger les excès pour que les affaires reprennent. Et si le capitalisme démocratique mis en place dans les pays occidentaux après la seconde guerre mondiale comportait un déséquilibre indépassable ?