Notice rédigée par Hughes Brivet & Alain Tixier.
Almeric Riche dit Almery Lobel-Riche nait le 3 mai 1877 à Genève de parents français. Peintre, graveur, illustrateur, Lobel-Riche, décédé le 11 mai 1950 à Paris, est inhumé dans le Limousin, à Meymac (Corrèze).
Biographie
Distinctions & Récompenses :
Essai d’un catalogue des collections corréziennes
Bibliographie
Repères
Biographie
Né d’une mère arlésienne et d’un père cévenol, Lobel-Riche passe son adolescence à Montpellier dans l’Hérault où il entre, âgé de seize ans, à l’École des Beaux-arts. L’illustration d’un traité d’anatomie par un médecin lui facilite l’accès à la Faculté de Médecine l’acquisition d’une profonde connaissance du corps humain.
Deux ans plus tard, il monte à Paris où, durant trois années il exerce divers métiers alimentaires - ouvrier lithographes, dessinateur d’affiches, commis d’architecte, illustrateur occasionnel de presse - tout en fréquentant les musées, les galeries ainsi que l’École des Beaux-arts.
Élève[1], du peintre et collectionneur Léon Bonnat (1833 † 1922), de Paul Saïn[2] (1853 † 1908) et d’Antoine Calbet (1860 † 1944), Lobel-Riche débute au Salon de 1902 avec le « Dispensaire ». Cette même année, il illustre son premier ouvrage, « La Main gauche » de Guy de Maupassant (1850 † 1893) publié chez Ollendorf dans une collection populaire ; les dessins sont gravés sur bois par G. Lemoine.
Les années suivantes, l’État acquiert une huile sur toile la « Marchande à la toilette »[3] (1904, Salon de la Société des Artistes Français n°1149, attribuée au musée de Carcassonne (Aude)), une estampe [4] « Le hamac » (1908, Salon de la Société internationale de la gravure originale en noir, 46*54 cm).
Sociétaire des Artistes Français en 1909, il publie son premier livre d’artiste « Études de filles » avec un texte de Camille Mauclair[5] (1872 † 1945).
Mobilisé en 1914, le lieutenant dans l’armée d’Orient en Macédoine mitraille les scènes de guerre, les sites, les personnages tel ce croquis publié en mars 1915 par l’Europe anti-prussienne, « Le Mouton enragé »[6], ces aquarelles reproduites dans L’Illustration du 28 octobre 1916, dans La Serbieglorieuse[7], numéro spécial de L’Art et les Artistes publié par Armand Dayot (1851 † 1934). Mme Lobel-Riche cède[8] à l’État deux dessins à l’aquarelle : « La retraite » (Serbie) et « Le Vardar ».
Atteint par l’épidémie du typhus, Lobel-Riche passe les six derniers mois de la Grande Guerre au Maroc auprès du Maréchal Lyautey[9] (1854 † 1934) et expose à la Galerie Excelsior à Casablanca ainsi qu’à la Galerie Devambez où l’État[10] acquiert une aquarelle « À Salonique ». De son séjour marocain jusqu’au milieu de l’année 1919, Lobel-Riche rapporte des huiles, des pastels, des aquarelles, des dessins ainsi que nombre d’eaux-fortes originales qui serviront une dizaine d’années plus tard à illustrer « Un crépuscule d'Islam » d’André Chevrillon (1864 † 1957).
De retour dans la métropole, Lobel-Riche adhère à la Fédération des dessinateurs de la CGT formée par les dessinateurs et humoristes[11] et expose avec succès des scènes orientalistes chez Devambez. l’État y procède de nouveau à deux achats [12] : « Le minaret, Fez » et « Sous les voûtes de Bab Mansour, Meknès » (n°26 & 54 du catalogue).
Le 13 juillet 1920, Lobel-Riche retrouve Lyautey au banquet[13] offert par la revue France-Maroc au Palais d’Orsay en l’honneur de la réception du maréchal à l’Académie Française.
En janvier 1922, Lobel-Riche est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur au titre du Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts ; le même décret élève Pierre Louÿs au grade d’Officier[14].
Au cours des années 20, Lobel-Riche est également sollicité par la publicité comme en témoigne cette affiche pour les « Cycles Peugeot » (540*735 mm), ou cette autre pour la « Phosphorine Maxence Damotte » (156*96 cm).
Avec « Salomé » d’Oscar Wilde (1854 † 1900) publié en 1930, Margerit nous apprends que Lobel-Riche ne produira plus que des exemplaires uniques jusqu’au « Rolla » d’Alfred de Musset (1810 † 1857).
L’illustrateur est consacré en cette année 1930 avec la publication en février d’une étude critique de Gabriel Boissy (1879 † 1949) « Lobel-Riche » préfacée par Alphonse Séché (1876 † 1964) dans la collection « Les Artistes du Livre » chez Babou.
Paradoxalement, la décennie suivante est la moins prolifique mais riche en œuvres de qualité comme « Salomé » d’Oscar Wilde (1854 † 1900), « Un crépuscule d'Islam » d’André Chevrillon (1864 † 1957), ou l’album « Arabesques intimes ».
Lors de l’exode juin 1940, Lobel-Riche se réfugie en Corrèze dont la famille de son épouse, Odette née Bossuet, est originaire. Le couple occupe la maison de la grand-mère maternelle actuellement le presbytère, 12 rue des Clercs, puis ils aménagent un appartement au premier étage d’une maison appartenant à la famille, 9 place de l’Église. Lobel-Riche poursuit une activité artistique plus consacrée au dessin et à la peinture ayant pour thème soit des portraits de personnalités locales ou études de personnages rencontrés lors de ses sorties.
En 1941, tout en préparant les illustrations pour « Rolla » de Musset dont tous les exemplaires sont pratiquement souscrits, il expose ses peintures à la Librairie Masson à Lyon[15].
Après la guerre, les séjours corréziens de Lobel-Riche se poursuivent et le couple s’installe dans une maison à proximité de la gare de Massoneix.
Son élève Odette Denis graveur animalier, fille de fille de Maurice Denis (1870 † 1943) séjourne chez le couple et certaines de ses pièces ornent des cimaises de meymacois. en 1948, Lobel-Riche dirige la publication de son premier livre illustré : « Les Poèmes barbares » de Leconte de Lisle (1818 † 1894).
Lobel-Riche s’éteint le 11 mai 1950 à Paris après avoir gravé son dernier cuivre « Tête de Christ » ; Selon sa volonté, il est inhumé dans le Limousin, au cimetière des Horts de Celle à Meymac (Corrèze), dans le caveau de sa belle-famille.
Illustrateur, Lobel-Riche a composé des dessins ou gravé pour des périodiques comme Je sais tout, et Le Rire ; pour les éditeurs : Albin-Michel, les Amis de la petite estampe moderne, Blanchetière, Brifaut, Calmann Levy, Carbonel, Cercle Grolier, Cres & Cie, Devambez, L’Edition, Javal et Bourdeaux, Lafitte, Lemercier, L’Hoir, Livre de Plantin, La Maison du livre, Michaud, du Moustié, Ollendorf, Pelletan[16], Per Lam, Romagnol, Rombaldi, Schleicher Frères, Sirey, Wapler. Ses pièces ont orné les textes de : Paul Acker, Annunzio, Austruy, Bachelier, Balzac, Barbey d'Aurevilly, Baudelaire, Baudu, Beaume, Pierre Benoit, André Billy, Boissière, Carco, Château, Gaston Chérau, Chevrillon, Colette, Coppée, Coquiot, Fèvre, Flaubert, Frapié, John Grand-Carteret, Guillemot, Hermant, Loti, Pierre Louÿs, Robert Margerit, Mauclair, Maupassant, Mirbeau, Murger, Musset, Osmont, Edgar Poe, Randon dit Jehan Rictus, Reboux, Jules Renard, Prosper Ricard, Louis Rollin, Maurice Rollinat, Georges Sand, Sienkiewicz, Stendhal, Tharaud, Theuriet, Paul Valéry, Veber, Verhaeren, Verlaine, Oscar Wilde, Willette, Zola.
Distinctions & Récompenses :
1904, Mention Honorable,
1905, Encouragement spécial de 500 fr (Peinture),
1907, Encouragement spécial de 1000 fr (Peinture),
1914, Mention Honorable(Gravure),
1920, Médaille d’Argent (Gravure)[17],
1922, Chevalier de la Légion d’Honneur,
Essai d’un catalogue des collections corréziennes
« Chaumière de Lavaur (Meymac) » Huile sur toile, Coll. particulière,
« Exode », Huile sur toile, Coll. Publique, Meymac,
« Manoir de Meymac vu de la pergola » Huile sur toile, Coll. particulière,
« Meymac vu de la prairie » Huile sur toile, Coll. particulière,
« Meymac, la fontaine » Huile sur toile, Coll. particulière,
« Meymac, place-de-village » Huile sur toile, Coll. A. Tixier,
« Meymac, rue de l’Horloge » Huile sur toile, Coll. particulière,
« Meymac, rue des Moulins » Huile sur panneau, Coll. particulière,
« Meymac sous la neige », Huile sur toile, Coll. Publique, Brive,
« Printemps dans les châtaigneraies en Limousin », Huile sur toile, Coll. particulière,
« Portrait de la fille du docteur Soulier », Huile sur toile, Coll. particulière,
« Études de personnages sur le foirail de Meymac » Dessin, Coll. particulière,
« Portrait de l’épicier Gratadour dit Gogue » Dessin, Coll. particulière,
« Portrait de la fille du docteur Soulier en communiante », Dessin, Coll. particulière,
« Portrait du docteur Soulier » Dessin, Coll. particulière,
« Tête du Christ » Gravure, Coll. particulière,
« Portrait de Mme Soulier » Cuivre, Coll. particulière,
« Portrait de Mme Soulier » Gravure, Coll. particulière,
« Vieux juifs à Fez » Gravure, Coll. particulière,
Annunzio, « Les Lions rouges », Livre, Coll. A. Tixier,
Austruy, « L’Ère petit paon », Livre, Coll. A. Tixier,
Beaume, « La Femme et le larron », Livre, Coll. A. Tixier,
Benoit, « L'Atlantide », Livre, Coll. A. Tixier,
Boissière, « Fumeurs d’Opium. Comédiens ambulants », Livre, Coll. A. Tixier,
Boissy, « Lobel-Riche », Livre, Coll. A. Tixier,
Château, « La Cité des Idoles », Livre, Coll. A. Tixier,
Chevrillon, « Un crépuscule d'Islam », Livre, Coll. A. Tixier,
Flaubert, « Salammbô », Livre, Coll. A. Tixier,
Margerit, « Lobel-Riche », Livre, Coll. A. Tixier,
Maupassant « La Main gauche », Livre, Coll. A. Tixier,
Musset, « Rolla », Livre, Coll. A. Tixier,
Tharaud, « La Ville et les Champs. 1870-1871. », Livre, Coll. A. Tixier,
Bibliographie
Boissy Gabriel, « Lobel-Riche », Préface par Alphonse Séché, Babou, 1930, Collection « Les Artistes du Livre », in-4°, en feuilles avec un portrait de l'Artiste par Lui-même et 24 illustrations hors texte (Tirage à 700 exemplaires numérotés dont 50 sur papier du Japn avec une gravure originale de Lobel-Riche et 650 sur papier vélin blanc des papeteries Johannot, ainsi que 50 exemplaires numérotés de I à L).
Dugnat Gaïté, Sanchez Pierre, « Dictionnaire des graveurs, illustrateurs et affichistes français et étrangers 1673-1950 », Ed. de L'Échelle de Jacob, Dijon, 2001, Vol. 4, pp.1620-1621.
Livre et ses amis (Le), octobre 1946.
Margerit Robert, « Lobel-Riche », Le Livre de Plantin, 1946, (86 pl., études, dessins, lithographies et aquarelles).
Osterwalder Marcus, « Dictionnaire des illustrateurs 1890-1945 », Ides et Calendes, pp.718-719.
Papyrus (Revue), octobre 1926.
Base Arcade (Consultée le 18 juin 2012)
Repères
1880
Naissance à Genève le 3 mai
1896
Entre à l’École des Beaux-arts de Montpellier
1896
Illustrations pour un traité d’anatomie
1898
Arrive à Paris
1902
Illustrations pour Maupassant « La Main gauche »
1902
Première participation au SAF
1903
Participation au SAF
1904
Mention Honorable au SAF et acquisition par l’État de la « Marchande à la toilette » (n°1149) actuellement au musée de Carcassonne
1905
Participation au SAF et Encouragement spécial de 500 fr (Peinture)
1905
Illustrations pour P. Veber, « Les Tard venus ».
1906
Participation au SAF
1906
Illustrations pour H. Austruy « L’Ère petit paon », H. Chateau « La Cité des Idoles », H. Fèvre « La Traversée de l'Enfer », J. Rictus, « Fil de fer », H. Sienkiewicz « Les Chevaliers de la croix », J. et J. Tharaud « La Ville et les Champs. 1870-1871. ».
1906
Participation au SAF
1907
Participation au SAF et Encouragement spécial de 1000 fr (Peinture)
1907
Illustrations pour, Stendhal « Le Rouge et le Noir », G. Beaume « La Femme et le larron », A. Theuriet « L'Oncle Scipion »,
1908
Illustrations pour H. Murger « La Vie de Bohème »,
1908
Salon de la Société internationale de la gravure originale en noir de 1908
1909
Illustrations pour L. Frapié « Marcelin Gayard », G. Sand, « Elle et Lui » « Valentine », E. Zola « Thérèse Raquin », J. Boissière « Fumeurs d’Opium. Comédiens ambulants ».
1909
Participation au SAF (Peinture).
1909
Portrait de J. Boissière, pointe sèche pour la réédition de « Fumeurs d’Opium. Comédiens ambulants ».
1909
Sociétaire des Artistes Français en 1909, il publie son premier livre d’artiste « Études de filles » avec un texte de Camille Mauclair
1910
Illustrations pour Barbey d'Aurevilly « Les Diaboliques », F. Coppée « Les Vrais riches », A. Hermant « Mémoires pour servir à l'histoire de la Société. Histoire d'un fils de roi », A. Theuriet, « Charme dangereux ».
1911
Illustrations pour G. Annunzio « Les Lions rouges », Renard « Poil de Carotte »,
1911
Illustration en couleurs pour la couverture de l’ouvrage de J. Grand-Carteret, « Une victoire sans guerre»
1912
Domicile : 120 Bd de la Chapelle à Paris (18e). Cité dans l’Annuaire comme Officier des Palmes Académiques, sociétaire du Salon de la Société des Artistes Français
1912
Illustrations pour G. Coquiot « Poupées de Paris, Bibelots de luxe », Zola « Conquête de Plassans »,
1913
Illustrations pour Guillemot « Les Bars »,
1914
Mobilisé, il sert dans l’armée d’Orient avec le grade de lieutenant.
1914
Participation au SAF et Mention Honorable(Gravure),
1915
Illustrations pour Verhaeren « 1914-1915. Crime allemand »,
1916
Mme Lobel-Riche cède au Commissariat des expositions deux dessins à l’aquarelle : « La retraite » (Serbie) et « Le Vardar ».
1918
Illustrations pour F. Carco « Les Malheurs de Fernande ».
1918
Séjourne au Maroc de juillet 1918 à juin 1919
1918
En, Lobel-Riche expose à la Galerie Excelsior à Casablanca (Maroc)
1918
Achat par l’État d’une aquarelle « À Salonique » à la Galerie Devambez
1919
Illustrations pour Verlaine « Femmes » et « Hombres », P. Ricard « Arts marocains I – Broderies »
1919
Mai, adhère à la Fédération des dessinateurs.
1919
Exposition de 300 aquarelles rapportées de l’armée d’Orient, en Macédoine puis au Maroc
1920
Publication d’une suite de 12 lithographies originales « En Macédoine »(Éditeur A. G. L’Hoir)
1920
Exposition d’eaux-fortes originales au SAF (illustrations pour « Les Fleurs du mal ») récompensée par une Médaille d’Argent, et, à la GOC (sujets orientalistes).
1920
Exposition de sujets orientalistes chez Devambez Achat par l’État de deux tableaux, « Le minaret, Fez » (n°26) et « Sous les voûtes de Bab Mansour, Meknès » (n°54)
1920
Participation au Salon des Orientalistes
1920
Exposition des Peintres du Théâtre à la Galerie d’Art Henri Manuel, organisée par la revue La Hampe
1920
Lobel-Riche est invité par la revue France-Maroc à un banquet , au Palais d’Orsay, en l’honneur de la réception du maréchal Lyautey à l’Académie Française
1920
édaille d’Argent (Gravure)
1921
Illustrations pour Baudelaire « Les Fleurs du Mal » (2 éditions), « Le Spleen de Paris »
1921
Exposition d’eaux-fortes originales au Salon de la Société des Artistes Français
1922
Chevalier de la Légion d’Honneur,
1922
Illustrations pour Benoit « L'Atlantide »,
1923
Illustrations pour Balzac « La Fille aux yeux d'or », Baudelaire « Les Fleurs du mal »,
1924
Exposition collective « Paris vu de nos jours » à la Galerie Marcel Guiot (4 Rue Volney, Paris) avec Béjot, Brouet, Forain, Naudin… alors que Jean Puy expose à la Galerie E. Druet
1924
Illustrations dans le texte pour l’Agenda 1924 de la Compagnie des Chemins de Fer P.L.M[18].
1925
Illustrations pour R. Baudu « Agora », Colette, « Chéri », H. Willette « La Mort de la Faunesse »
1926
Exposition collective à L’Estampe Moderne (14 Rue de Richelieu à Paris) alors que Marcoussis expose chez Jeanne Bûcher et que Lebourg et Guillaumin exposent chez André Cousin
1926
Illustrations pour G. de Maupassant « La Maison Tellier », O. Mirbeau « Journal d'une femme de chambre »,
1927
Exposition collective à L’Estampe Moderne (14 Rue de Richelieu à Paris) alors que Kayser, Léopold-Lévy et Pascin exposent chez Fabre au 20 Rue de Miromesnil
1927
Illustrations pour Poe, « Vingt histoires extraordinaires »,
1928
Illustrations pour P. Reboux, « La Maison de danses »,
1929
Illustrations pour H. Rollinat « Les Luxures » extrait des « Névrosés »,
1930
Illustrations pour O. Wilde « Salomé », pour A. Chevrillon « Un crépuscule d'Islam ».
1931
Contributions à quelques unes des 285 compositions en couleurs et en noir illustrant l’Œuvre romanesque complète de P. Loti
1936
Illustrations pour Verlaine, « Sagesse, amour »,
1937
Illustrations pour Barbey d'Aurevilly « Les Diaboliques », G. Bachelier « Les Congés payés »,
1938
Album « Arabesques intimes »
1940
En juin, quitte Paris pour Meymac en Corréze.
1942
Illustrations pour Musset, « Rolla »
1945
Illustrations pour P. Louys « Sanguines », L. Rollin « Horizons », Verlaine « Chansons pour elle »,
1947
Album « Le Cantique des Cantiques »
1949
Illustrations pour A. Billy « Visions de danse »,
1950
Décès à Paris le 11 mai, inhumation à Meymac
1951
Exposition rétrospective à la Galerie Doucet (Paris)
1952
Exposition pour le cinquantenaire de la mort d’Émile Zola à la galerie Mansart, inaugurée le 12 décembre par Vincent Auriol, Président de la République, et par André Marie, Ministre de l’Éducation Nationale. Lobel-Riche a illustré « Thérése Raquin » (Calman-Levy, 1910), « Les Rougon-Macquart… La Conquête de Plassans » (Calman-Levy, 1910),
Cette notice est extraite d’un ouvrage en préparation sur Lobel-Riche à paraître courant 2013. Si vous possédez des informations sur Lobel-Riche, documents ou œuvres, merci de nous contacter en cliquant sur ce lien ou en recopiant l'adresse de ce lien à partir de votre messagerie.
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[1] Notice du Salon de la Société des Artistes Français de 1904.
[2] Jean-Paul Marie Saïn, dit Paul Saïn.
[3] Base Arcade, notices n° AR449124 et AR013972.
[4] Base Arcade, notice n° AR449125.
[5] Séverin Faust dit Camille Mauclair(1872 † 1945) a écrit le texte après les planches furent gravées (cf. Margerit, p.36).
[6] John Grand-Carteret cite cette « pittoresque expression du peintre-graveur Lobel-Riche, qui mériterait de faire fortune » in « Verdun, images de guerre.. », Chapelot, Paris, 1916, p.32.
[7] Mars 1917, Troisième Série de Guerre, n°1.
[8] Base Arcade, notices n° AR449126 et AR449127.
[9] « Paroles d’action : 1900-1926) »,Préface de Louis Barthou (1862 † 1934), Armand Colin, Paris, 1927, p.451.
[10] Base Arcade, notice n° AR449128 ;
[11] Revue d'économie politique, janvier-février 1920, n°1, p.349 : avec, entre-autres, Poulbot, Hellé, Radiguet, Malteste.
[12] Base Arcade notices n° AR449129 et AR449130.
[13] Parmi les autres invités, signalons la présence du peintre Bernard Boutet de Monvel, d’un représentant de la Cie des Forges de Chatillon à Commentry (Allier), du peintre J. de la Nezière, de Normand secrétaire général de la Compagnie de Vichy (Allier),
[14] Le Figaro du 20 janvier 1922, p.4.
[15] Le Figaro du 22 novembre 1941, p.4.
[16] Pelletan est le beau-frère du graveur auvergnat Julien Tinayre(1859-1923).
[17] Le graveur bourbonnais Albert-Philibert, né à Montluçon, obtient une des six médailles d’or.
[18] Avec Siméon, Hermann-Paul, Lobel-Riche, Abel Faivre, Naurac, EloyVincent, Aug.-H. Thomas, Belnet, Broders, Cartier, Lacaze, Lanel, Lelée ; l’Agenda est également composé de 16 hors textes et de reproductions en simili-gravure de photographies » (cf. Le Sémaphore algérien du 23 novembre 1923