Décidément, la banque d’investissement se prête
naturellement à la malversation. Cette fois-ci, ce sont des traders de Barclays
qui ont trafiqué les chiffres pour augmenter leurs bonus.
Une nouveauté, cependant : « Barclays n’a pas mis cela au compte d’agents de change
malhonnêtes : son patron, Bob Diamond, et les autres cadres dirigeants ont
expliqué ceci comme un dysfonctionnement de la banque dans son intégralité. »
(Eagle fried)
Un précédent qui influera sur le procès Kerviel ?