Quelle est cette motivation qui anime chacun de nous pour tenter de faire quelque chose de notre existence ? Et pour quoi ?
Est-elle la même pour tous, ou chacun en possède une différente ? Sur le fond, avons nous tous un objectif unique ou au contraire chacun des buts multiples ?
Quelle importance…
Les enfants ont envie de se divertir, souvent par la découverte, pour les plus habiles se faire du bien en faisant plaisir aux parents. Ensuite cette envie de satisfaire ses géniteurs prend le pas sur le reste. Comme une orientation à rentrer dans le moule. Pour la majorité des jeunes la réussite dans leurs entreprises façonnent leurs personnalités et leurs caractères, réciproquement la personnalité et le caractère développent l’esprit d’entreprise et le goût pour la réussite. Enfin la satisfaction devient personnelle, tout en désirant la partager.
Rare sont donc ceux qui vivront pleinement une existence constructive, épanouissante et indolore ce qu’Aristote appelait le bonheur.
Nous naissons sur un fil, nous le suivons tant que nous trouvons l’équilibre… Jusqu’à la chute ultime.
[Questions pseudo-existentielles :
Alors finalement à quoi bon vivre si c'est pour mourir à la fin ? A quoi bon mourir si c'est pour aller nulle part ? Si partir c'est mourir un peu, mourir c'est partir beaucoup ? Fuir c'est se sauver ou s'échapper ? Crever, c'est mourir un pneu (ça faisait longtemps !) Mourir, ça fait dur pleurer...] Allez, rangeons le journal intime de la malheureuse au rayon des brèves de comptoirs et des blagues de Toto.
Questions à la con, mais qui rappellent des souvenirs !.. On se les pose dès notre adolescence et évidemment il n’y a pas de réponse. Ou au mieux, elles seront différentes pour chacun à chaque âges.
L’humain ne dispose que de trop peu d’information sur lui même pour espérer obtenir les réponses à ses interrogations existentielles.