Bref, comme dirais l'autre tebé à la télé, là n'est pas le sujet.
Tout à commencé ce samedi matin où, au moment d'ouvrir les volets, je me prend un joli rayon de soleil dans les dents, et que Chéri me propose d'aller au parc Asterix.
On enfile le short, les baskets, les sandwiches et hop, 30 minutes plus tard nous voilà parti. Le 1er weekend des soldes résonnant dans ma tête, je pensais vraiment qu'il n'y aurai pas beaucoup de monde, et je m'en ravissait d'avance.
Tu parles. Erreur, grosse erreur..
A peine arrivé, une queue énorme ! (N'y voyez là aucun jeu de mots, evidemment). Nous, munis de super-places-merci-CE-Chéri, on ne fais pas la queue, et pénétrant dans l'antre. (Non, pas de jeu de mots j'ai dit!).
L'exitation est à son comble, on court limite, on croise nos regards complices, deux gamins. On arrive devant le grand-huit. "Goudurix" qu'ils appelles ça.. tu parles! J'aurai plus dit "tupassestavieàattendrix". Passons notre chemin va!
Arrivés devant le Tonner de Zeus, un joli panneau nous annonce 90 minutes d'attente. LOL. Bon, de toute façon, j'ai faim, on en profitera pour claquer un sandwiche. Après 1h30 et des foutages de gueules en nombre (oui les files d'attente ça peux être un peu marrant quand même), c'est à nous. Deux pshiit de Rescue et on s'attache. On cris, on pleure, on rigole, et c'est fini. 26 secondes de manège pour 1h30 d'attente. Rentable, y'a pas photo!
Surtout que, pour l'enervement de nos compères, juste à la fin de notre tour, les wagons restent coincés et l'annonce " Mesdames et Messieurs, suite à un problème technique, l'attraction doit fermer" (Ils ont copié la SNCF, j'te jure!).
On se pose pour manger, et hop on se dépèche d'aller voir la toute nouvelle attraction de sadique, OZ-Iris. Tu sais le truc où t'as les pieds dans le vide et ça fait des loopings ? Sadique j'ai dit.
2h45 d'attente. Je rêve. Je vois Chéri trépigné. Il est déjà 14h00 et nous n'avons fait qu'une seule attraction. Il me fait sa moue, je craque, on commence à attendre. Le soleil cogne d'une force, pas un seul abris pendant 2h30. Les gens craquent, s'énervent, on se croirait à une grêve du métro. Pendant ce temps, tu vois passer evidemment les wagons à moitiés vides, et là tu gueules.
Lorsqu'arrive ton tour, tu n'as même plus peur tellement tu as envie d'en finir. Bon point pour eux quand même, j'ai même pas pleurer.
A part cette longue attente, j'ai vraiment kiffer ma race.
On ressort, 16h45. Un saut voir les dauphins, magnifique, et c'est déjà l'heure de partir.
On ne m'y reprendra plus. Ils nous prennent pour des moutons direction l'abbatoire, et aucunes attractions n'est dispo à moins d'attendre au mois 90 minutes.
NEXT !