Qui veut traduire en plusieurs langues « Quand allez-vous nous respecter ? » et « Quand allez-vous nous payer ? » ?. le blog telecoms http://telecoms.zeblog.com.
Communiqué de presse - Lyon le 1er juillet 2012 –Un court échange avec le patron « actuel » de Vivendi SFR a commencé par une citation en latin. Les « Distributeurs » SFR sont des personnes « cultivées » et vont donc lui répondre.
Ce 30 juin 2012, j’ai proposé un droit de réponse aux destinatairesde cet article « Vivendi SFR implose : « qui » règle les casseroles des Distributeurs » SFR ?» publiésur le blog telecoms sur le sujet des « Distributeurs » Espaces SFR et anciens « Distributeurs » neuf telecom. Ce que la CNIL impose de faire mais que « seul » SFR, « une fois de plus », se permet de contester ou de refuser. Jean-François Dubos, le « nouveau » nouveau patron de Vivendi SFR qui remplace « l’ancien » nouveau patron Jean-Bernard Lévy qui lui-même a remplacé « l’ex » nouveau patron Frank Esser « limogé », m’a répondu par cet adage en latin que je vous livre : « de minimis non curat pretor ». Ou plus exactement « de minimis non curat praetor ». Nous ne lui tiendrons aucune rigueur pour cette si « petite » erreur.
Pour ceux qui, comme moi, auraient un peu oublié cette langue morte, on pourrait la traduire en une langue plus actuelle, le français, de cette manière « Le Prêteur (= le magistrat romain) ne s’occupe pas des petites affaires ». Ou plus exactement en ce qui « nous » concerne, appliqué à l’évaluation d’un risque financier, cela signifie de « ne pas porter attention à un risque très faible ». Les « Distributeurs » SFR et anciens neuf telecom « apprécieront ». Les « puristes » parmi nos 3 000 abonnés apprécieront le retour de Vivendi SFR. Et puisqu’on « frôlerait » la « finesse d’esprit » latine, « ils sont légion » !.
Le latin est devenu 20 siècles plus tard notre langue… française. On comprend pourquoi Vivendi SFR a encore « un peu de chemin » à parcourir avant de savoir « écouter » et « dialoguer » : « 20 siècles nous séparent » ! (…).
Comme la communauté « forte » de 3 000 abonnés (qui ambitionne de passer à 5 000 pour fin 2012) est très soucieuse d’être bien « entendue », à défaut d’être « respectée », face à ces étalages de « culture » (« plus on l’étale moins en en aurait » dit aussi un autre adage), je propose donc d’être bien plus « clairs » dans notre « fonction » de « Distributeurs », de « Vrais Patrons » de « nos PME » face à des dirigeants « salariés ». Fussent-ils « érudits ».
Je mets donc la communauté, le net et tous les réseaux sociaux à contribution :qui veut traduire « Quand allez-vous nous respecter ?. Quand allez-vous nous payer ? » en plusieurs langues, dialectes et patois ?.
Rivalisons non sans humour et montrons que l’on peut avoir été mis sur le carreau par SFR et ses confrères tout en étant fort « cultivés ». Et surtout déterminés. Car pour « nous », le « risque » d’avoir travaillé pour Vivendi SFR et neuf telecom a été tout sauf … « insignifiant ». En effet, 10 000 de nos PME ont été « sacrifiées » par SFR et ses confrères. Plus nos milliers de salariés. Plus les milliers de familles. « Insignifiant » ?.
« A vos claviers » et mettez à contribution vos connaissances. Je vous attends avant de faire passer « notre » retour aux dirigeants « actuels » de Vivendi SFR : « Quand allez-vous nous respecter ?. Quand allez-vous nous payer ? ».
« En ce qui concerne mon sentiment sur le sujet » explique Philippe Fontfrède le créateur et développeur du site le blog telecoms http://telecoms.zeblog.com/ « une des bases de la relation entre individus est de s’assurer de bien parler la même langue : appliquons-nous… et « parlons » ensuite de concert à voix haute !. SFR parle en… latin et nous sommes en réseau et sur les réseaux ».
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