Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a expliqué que ce sommet
marque un «tournant» de la politique européenne.
Revenant sur les 120 milliards d'euros d'investissement dans des programmes de développement économique et industriel, le député de Seine-Saint-Denis a souligné l'action volontaire du président de la République française.
«Sous l’impulsion de François Hollande, une stratégie de croissance est en train de remplacer la politique d’austérité généralisée qui était imposée depuis 3 ans.»
Bruno Le Roux a aussi jugé satisfaisant la mise en place d'une solidarité entre les Etats pour «combattre les attaques spéculatives».
«Avec la possibilité donner au mécanisme européen de stabilité de prêter directement aux banques, l’Europe fait un grand pas vers l’Union bancaire qui la protègera des soubresauts des marchés financiers. La solidarité est la condition de l’intégration.»
Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a conclu sur le rôle moteur qu'a joué François Hollande, permettant à une Europe qui subissait la crise à «prendre son destin en main».
«Cette réorientation de la politique européenne est le fruit de la détermination du président de la République qui en avait fait un engagement fort de sa campagne.»
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