Action
Film américain, indonésien
Note globale: 13,5/20 ♥♥♥
Date de sortie: 20 juin 2012
Réalisateur: Gareth Evans
Acteurs: Iko Uwais, Yayan Ruhian, Joe Taslim
Durée: 1h41
Synopsis (Allociné) : Au cœur des quartiers pauvres de Jakarta, se trouve une citadelle imprenable dans laquelle se cache le plus dangereux trafiquant du pays. Une équipe de policiers d’élite est envoyée donner l’assaut lors d’un raid secret mené aux premières lueurs du jour. Mais grâce à ses indics, le baron de la drogue est déjà au courant et a eu amplement le temps de se préparer. A l’instant où le groupe d’intervention pénètre dans l’immeuble, le piège se referme : les portes sont condamnées, l’électricité est coupée et une armée d’hommes surentrainés débarque. Piégés dans cet immeuble étouffant, les policiers vont devoir se battre étage après étage pour avoir une chance de survivre.
Ce que j'ai pensé du film: "The Raid" nous plonge dans du cinéma d'action sérieux, avec un ptich de départ très simple: un commando est envoyé dans un raid de la mort. Les policiers doivent intervenir dans un immeuble glauque, qui se révèle être un véritable guet-apens. Violence, scènes de combats, le rythme est assez prenant et l'ambiance oppressante. La mise en scène est donc réussie pour qui aime le genre. Tout le monde tire sur tout le monde, les bastons durent longtemps, c'est très brutal, mais le résultat se laisse bien regarder, grâce à une bonne maîtrise des images et des gros bruitages. On regrette cependant l'aspect répétitif avec un rythme qui s'essoufle en fin de course.
Un film de d'action et de violence qui enchaînent les combats à vive allure.
Réalisation: OOOCO
Scénario: OOOOO
Rythme: OOOOO
Acteurs: OOOOO
Action: OOOOC
Intéressant? -
Divertissant? Oui
3 bonnes raisons d'aller voir ce film au cinéma:
- pour un rythme nerveux
- pour la manière de filmer les scènes de combats
- pour une action et violence sans réserve
3 bonnes raisons de quitter la salle avant le début du film:
- interdit au moins de 16 ans
- une overdose de combats parfois interminables
- un scénario très mince