J'aime mon prochain (et Olivier Martinez)

Je pense à priori du bien de l'autre. Ben oui, je sais, je suis faible. Je ne suis pas un tueur que voulez-vous. Pire, je ne veux pas spécialement gagner, être le plus fort, le plus rapide ou le plus beau. Non vraiment, à priori, j'aime bien les autres. L'autre peut tout aussi bien être ma voisine, mon épicier, mon médecin, mon camarade de classe, mon voisin de fauteuil dans le métro, ma femme, ma fille, mon chien, un policeman qui me verbalise sur mon scooter !
Penser du bien de l'autre me fait du bien. C'est bon pour le teint, c'est bon pour le sommeil, pour l'estomac, l'équilibre nerveux, etc...
L'autre peut avoir tort, à mon avis. Ca peut se discuter. Mais alors pourquoi ne pas en débattre ?
Oussama, Georges? Eric, Olivier ? Que diriez-vous d'un golf pour refaire le monde ?