La semaine dernière le Comité Français de la Couleur a organisé un passionnant échange autour des « couleurs du futur ». Sociologues, designers, artistes, agitateurs d’idées et spécialistes de la couleur ont tracé les chemins d’un monde coloré par la domination des technologies mais aussi et surtout par la nécessaire inspiration des poètes de la palette, artistes de toute couleur étant invités à ripoliner nos angoisses et nos désespoirs.
Parmi la variété des thèmes abordés, le sport a eu sa place, présenté par Marion Lamarque, Color Manager de Decathlon, groupe Oxylan, qui a expliqué combien les couleurs dans le sport étaient porteuses de valeurs individuelles et collectives, avec entre autres, des valeurs positives de fair play, de responsabilité sociale, d’intégrité : les couleurs du sport devraient être le porte-drapeau d’un monde global qui respecte les identités nationales, voire…
Des valeurs que l’équipe de France de football semble en effet définitivement ignorer. Après une lamentable coupe du monde où ces piètres joueurs ont fait honte à notre nation, l’Euro 2012 a été le théâtre des mêmes indignités. Ces joueurs français trop payés, trop cajolés par la puissance publique, toujours aussi indisciplinés, passent plus de temps à se crêper dans les vestiaires comme des tarifées de maison close qu’à discuter tactiques pour marquer des buts.
Personnellement, je m’en fous, je déteste le football, mais les supporters de plus en plus enragés se sont lâchés sur Tweeter : « Si les footballeurs étaient payés au mérite, la plupart des bleus seraient smicards ! » a écrit Docteur masqué. « Est-ce que les journaux pourraient nous lâcher un peu avec cette équipe de racaille qui ne doit pas intéresser grande monde ? » s’est énervé Logam… La presse étrangère s’est pourtant intéressée à cette racaille pour lui tailler des costards et en ricanant sur l’éternelle arrogance d’un pays qui cherche toujours à donner des leçons au monde entier sans balayer devant son carré de gazon…
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble