Allez ouste, du balai (Suite)

Publié le 23 juin 2012 par Moralotop @moralotop

Allez ouste, du balai !

Allez ouste, du balai (1) vous a présenté Michel et Léa.

Leur erreur ?

Zapper la commande d’un super client.

Jolie boulette.

Acceptée au terme d’un dialogue entre les deux parties de vous-même Moral à plat et Moral au top.
Voir Allez ouste, du balai (1)

D’où la question :

Quelle est la deuxième chose à faire pour se débarrasser d’une erreur ?

Parmi vos (très) nombreuses réponses.

• Analyser ses causes, la décortiquer.

• La pardonner pour mieux y réagir.

Certes, mais il y a plus fondamental.

• Comprendre pourquoi l’erreur nous mine le moral.

• En tirer les leçons pour ne pas la reproduire.

Mmoui… bien sûr, mais ce que nous cherchons vient en amont de tout ça.

• La considérer comme une phase de notre développement personnel.

• Réaliser que d’autres l’ont également commise.

Absolument.

Mais nous cherchons quelque chose qui influence TOUTE votre vie.

• Éviter de se tracasser, se soucier, se mettre le moral à plat.

• Trouver comment limiter la casse.

Sans doute, mais… comment dire… cette chose à faire est plus…

STOP, arrêtez tout, on a trouvé :

Le truc à faire c’est d’associer Léa et Michel à la réflexion : pourquoi, comment et tutti quanti.
On a bon, là ?

Excellent !
Excellent… quoi qu’insuffisant.

Ok, là on sort le lourd :

Le meilleur moyen de se débarrasser d’une erreur c’est de ne pas en commettre !
(C’est top ça, imparable).

J’avoue, ça dépote.
Mais l’erreur étant humaine, ne pas en commettre est-il bien réaliste ?

Pff… on jette l’éponge.
A  moins que… Eurêka… cette fois, on y est.

On ne peut pas se débarrasser d’une erreur, voilà.

Si, on peut !
En adoptant ce deuxième principe fondateur.

 AUTORISEZ-VOUS à faire des erreurs.

Le plus tôt possible, accordez-vous le droit inaliénable aux boulettes, bévues et autres bourdes.

Dès l’âge des couches culottes, enseignez que l’erreur est un élément naturel.

Facteur de construction de la personnalité.
Et d’apprentissage.

Tant de gens ont si peur de commettre des erreurs qu’ils ne se lancent jamais.

Vous autoriser l’erreur c’est :

• Ne plus culpabiliser en cas d’échec.

• Vous réconcilier avec vous-même.

C’est aussi :

• Libérer votre force créatrice.

• Mieux savourer vos succès.

• Mieux comprendre les autres.

Rien de tel pour améliorer votre moral que d’adopter cette attitude gagnante.

Bien sûr, analysez, décortiquez la bévue aussi profondément que nécessaire.

Tirez-en les enseignements en raisonnant SOLUTION et non problème.

Je n’aurais pas dû embaucher Michel ne vous mènera à rien.

Voilà la procédure adoptée avec Léa pour ne plus oublier les commandes clients est déjà meilleur.

Vient alors le grand moment.

Munissez-vous d’un balai – un virtuel fera l’affaire-  et :


Congédiez votre erreur : allez ouste, du balai !

En faisant cela :

Vous évacuez l’erreur… pas ce qu’elle vous enseigne.

Pourquoi est-ce si important de vous en débarrasser ?

Imaginez.

Toute votre vie, vous portez un sac à dos.

Qui se remplit à chacune de vos erreurs.

Pensez-vous voyager loin et longtemps,

En bon état physique et moral,

En prenant plaisir à vivre ?

Peu probable en effet.

 Videz votre sac !

Une fois l’erreur acceptée et les leçons tirées, sortez-là du sac.

Envoyez la bouler : allez ouste, du balai.

Jamais plus elle ne doit venir alimenter vos pensées sombres.

Ainsi vous poursuivez votre route avec :

  • Moins de poids sur le dos.
  • Plus d’expériences dans la tête.
  • Plus de force et d’envie.

De quoi changer la vie.

Finalement,

J’ai commis tellement d’erreurs dans ma vie
qu’il y en a une que je ne commets plus :
m’en interdire de nouvelles.

Et vous, quelle est votre plus belle erreur ?

Cet article vous parle, partagez-le sur les réseaux, merci.

 Moralotop, plus belle ma vie.

Article lié : Allez ouste, du balai (1)

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