« La relation que l’homme entretient avec ses slips est un profond mystère » écrivait Paul Dornan en 1995. Dornan avançait que les sous-vêtements n’étaient pas « juste des bouts de tissus unis ou à motifs » mais « des choses qui vivent, qui respirent et qui accompagnent les hommes tout au long de la journée ». Pour beaucoup d’hommes, cela était peut-être le cas mais pour d’autres la relation s’arrêtait au côté pratique et utile de l’objet.
En 2004, une enquête en ligne, conduite en Nouvelle-Zélande, a donné naissance à une nouvelle définition du « rétro-métro-lingerie-sexuel » qui était « un gars qui aime faire croire qu’il ne se préoccupe pas de ses sous-vêtements mais en réalité si », après avoir découvert que 77% des hommes néo-zélandais achetaient leurs propres sous-vêtements.
En réalité, il est clair que les hommes entretiennent une relation intime et particulière avec leurs dessous, puisque cette dernière statistique britannique cette fois, démontre que les hommes britanniques gardent leurs sous-vêtements entre 5 et 12 ans ! alors qu’aux États-unis, 77% des hommes avouaient que leurs dessous étaient en loques, délavés ou tachés ! Je crois que l’on peux parler d’attachement, non ?
(Source : Histoire des sous-vêtements masculins, Shaun Cole, Crédit photo : Clever 2012)Ce que ressent un homme pour son sous-vêtement is a post from: Place de l'homme