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Critiques Séries : Necessary Roughness. Saison 2. Episode 3.

Publié le 21 juin 2012 par Delromainzika @cabreakingnews

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Necessary Roughness // Saison 2. Episode 3. Wide Deceiver.


Retour au monde du football américain. La petite parenthèse de la semaine dernière n'avait pas vraiment portée ses fruits, je suis donc content que l'on retrouve les rangs de l'équipe. Necessary Roughness devrait à mon avis n'être qu'une série autour du monde du football américain, avec une psychiatre et sa famille. Les autres types de sportifs peuvent être intéressants (comme se fût le cas à quelques reprises dans la saison précédente) mais voilà, ce n'est pas assez captivant. A chaque fois, j'ai l'impression que l'on nous force à nous éloigner des personnages récurrents de la série. Du coup, on retourne sur le terrain cette fois et Dani va tenter d'aider un tout nouveau joueur qui n'arrive plus à être aussi talentueux qu'il ne l'était sur le terrain à l'université. Razor de son nom était un personnage assez intéressant, torturé intérieurement et j'ai apprécié la manière avec laquelle l'histoire est développée.
La mécanique, je l'ai rodée, et pourtant, je trouve que Necessary Roughness sait en faire quelque chose de banal mais pas ennuyeux. Il y a certains épisodes pompeux, je veux bien l'avouer, mais force est de constater dans cet épisode que sur le terrain, elle était amusante Dani. Je préférerais que la série porte sur le milieu du football américain. Elle arrive à me faire apprécier en quelque sorte ce sport (ne venez pas me parler de Friday Night Lights s'il vous plaît, j'ai déjà tenté). Le travail de Dani fonctionne donc plutôt bien, et elle permet aussi de roder autour du terrain alors qu'il ne se déroule pas mal de choses en coulisse. D'une part T.K. Ce dernier est sommé de revenir aux entrainement ou bien il va devoir faire une croix sur les 7 millions de dollars de son contrat. Ce dernier achète un fast-foods de hot dog et pense déjà à la retraite. C'est donc la panique pour la manager de l'équipe. J'adore comment toute la crise est gérée de l'intérieur.

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C'est assez sympathique. Disons que la série ne se prend pas la tête, les dialogues ne sont pas des plus intelligents mais suffisamment corrects pour que l'on passe un bon moment. Du coup, on a un ton plutôt léger, et ailé qui se laisse suivre sans aucun problème avec la série. Pendant ce temps, nous suivons encore et encore les aventures des enfants de Dani. Ray Jay devient végétalien à cause de sa petite amie Olivia et cette dernière va petit à petit devenir amie avec la soeur de Ray Jay. Tout le monde se ligue donc contre Dani, mais elle a plus d'un tour dans son sac. Quelques petites scènes drôles et pas de prise de tête. C'est agréable et gentillet, sans plus. Il n'y a pas non plus de grands discours, de grandes engueulades ou de grand moment mère / enfants. Mais voilà, c'est familial et suffisamment bien élaboré pour que l'on ne s'ennuie pas.
Note : 6/10. En bref, un plutôt bon épisode de Necessary Roughness.


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