Necessary Roughness // Saison 2. Episode 3. Wide Deceiver.
Retour au monde du football américain. La petite parenthèse de la semaine dernière n'avait pas vraiment portée ses fruits, je suis donc content que l'on retrouve les rangs de l'équipe. Necessary
Roughness devrait à mon avis n'être qu'une série autour du monde du football américain, avec une psychiatre et sa famille. Les autres types de sportifs peuvent être intéressants (comme se fût le
cas à quelques reprises dans la saison précédente) mais voilà, ce n'est pas assez captivant. A chaque fois, j'ai l'impression que l'on nous force à nous éloigner des personnages récurrents de la
série. Du coup, on retourne sur le terrain cette fois et Dani va tenter d'aider un tout nouveau joueur qui n'arrive plus à être aussi talentueux qu'il ne l'était sur le terrain à l'université.
Razor de son nom était un personnage assez intéressant, torturé intérieurement et j'ai apprécié la manière avec laquelle l'histoire est développée.
La mécanique, je l'ai rodée, et pourtant, je trouve que Necessary Roughness sait en faire quelque chose de banal mais pas ennuyeux. Il y a certains épisodes pompeux, je veux bien l'avouer, mais
force est de constater dans cet épisode que sur le terrain, elle était amusante Dani. Je préférerais que la série porte sur le milieu du football américain. Elle arrive à me faire apprécier en
quelque sorte ce sport (ne venez pas me parler de Friday Night Lights s'il vous plaît, j'ai déjà tenté). Le travail de Dani fonctionne donc plutôt bien, et elle permet aussi de roder autour du
terrain alors qu'il ne se déroule pas mal de choses en coulisse. D'une part T.K. Ce dernier est sommé de revenir aux entrainement ou bien il va devoir faire une croix sur les 7 millions de
dollars de son contrat. Ce dernier achète un fast-foods de hot dog et pense déjà à la retraite. C'est donc la panique pour la manager de l'équipe. J'adore comment toute la crise est gérée de
l'intérieur.
Note : 6/10. En bref, un plutôt bon épisode de Necessary Roughness.