Chantal Sébire s’est éteint hier soir à 19h30 au regard de la lâcheté des instances en rejetant sa demande d’euthanasie le 17 mars dernier.
Personne n’était dupe en réalisant qu’aucune solution médicamenteuse n’apaiserait les souffrances qu’elle endurait depuis huit années.
Elle a soufflé la dernière bougie qu’il lui restait, celle de réaliser son seul vœu, celui de s’éteindre en silence nocturne, le combat vital perdu.
On s’interroge de nouveau sur la question de l’euthanasie mais ce n’est qu’un rebobinage comme pour le cas de Marie Humbert….
les cas de conscience ne semblent guère avancer sur ces questions éthiques ou encore même religieuses qui dépassent l’opinion publique...