... Trop, c'est trop. Bande de connards. Aujourd'hui, non, je ne pèserai pas mes mots. Samir Nasri, tu es un abruti. Hatem Ben Arfa, tu es un sale gosse et tous les deux, vous devriez déjà être dans l'avion de retour. Non, dans un train, ça vous fera les pieds. Non tiens, rentrez à pied, ce sera encore mieux. Après la lecture de L'Equipe ce matin, j'ai la nausée. L'équipe de France de football me dégoûte. Ce qui ne veut pas dire pour autant que cette équipe n'a pas de chances de gagner son quart de finale contre l'Espagne samedi. Ils le peuvent, ils en ont les moyens. Mais si j'étais sélectionneur, je renverrai dès ce matin à la maison (et définitivement) quelques uns de ces petits trous du cul gâtés pourris qui n'ont aucune notion d'une vie de groupe et qui n'ont que de l'air entre les oreilles. Et en général, c'est un air de Booba, c'est dire le niveau. Pas besoin de mecs avec cet esprit même s'ils ont du talent dans les pieds. Pas besoin de ces petits cons qui n'ont toujours pas compris que l'Equipe de France, ce n'est pas un droit mais des devoirs. Pas besoin de ces neuneus qui ne bitent rien à rien et qui ont un melon plus gros qu'un sein de Lolo Ferrari. Hatem, Samir et quelques autres, dégagez ! Cassez-vous une bonne fois pour toutes ! Allez palper vos énormes chèques tous les mois et ne revenez plus jamais nous emmerder. Après l'épisode traumatisant de Krysna lors de la dernière Coupe du Monde de football (rappel : des petits cons en bleu avec un coq sur la poitrine avaient refusé de descendre du car pour s'entraîner par solidarité avec Nicolas Anelka exclu), on aurait pu espérer que certains aient pris de la graine. Que ce soit enfin imprimé. Que ça ait servi à quelque chose. Que l'Equipe de France est au dessus de tout ça. Mais non. Il faut un cerveau pour et apparemment, ils en sont dénués. Ils ne pensent qu'à eux, leur petite gueule, leurs émoluements mensuels, leurs pouffes surmaquillées et leurs voitures carénées. Ils ne pensent qu'individuellement, jamais collectivement tant leur estime d'eux-même prend de la place. Cette génération 87 (les Nasri, Ben Arfa, Menez, Benzema) a vraiment du talent, tout le monde en convient mais celui-ci n'a d'égal que l'insondable bêtise dont ils semblent vouloir être les fiers porte-paroles jour après jour.
Selon L'Equipe, après le match contre la Suède, voici ce qui s'est passé (repris sur le site de 20 Minutes ici link). C’est un Alou Diarra dépité qui a dégainé le premier, d’un «ce n’est pas normal», visant le manque de motivation et d’intérêt pour les tâches défensives des joueurs à vocation offensive de l’équipe de France. Une critique que Samir Nasri, qui invite le joueur de l’OM à «rester poli», prend pour lui. Premier titulaire a avoir quitté la pelouse, Hatem Ben Arfa lui, tripote son portable. Une attitude qui ne plait pas à Laurent Blanc. «Hatem, tu n’as qu’à appeler ta famille pendant que tu y es» balance le coach des Bleus. Vexé, le joueur de Newcastle reproche à son sélectionneur de l’avoir sorti alors que des joueurs «plus nuls que lui» étaient encore sur la pelouse, et invite son coach à «le renvoyer chez lui s’il ne donne pas satisfaction.» Se sentant encore visé par la critique de Hatem Ben Arfa, Samir Nasri continue à monter au créneau tandis que Franck Ribéry tente de calmer le jeu. Le mot de la fin est pour Philippe Mexès, critiqué par Alain Boghossian pour son carton jaune, qui invoque l’aide insuffisante de son milieu de terrain qui l’a «poussé à faire la faute.» Et ça, c'est juste ce qu'on connaît mais ça a dû être bien pire encore.
Allez, tirez-vous. Rendez ce maillot que vous ne méritez pas. On ne veut plus de vous. Jamais.