Alors que certains temples m’avaient un peu déçue, j’ai trouvé à Lampang ce que j’aime: des vieilles pierres qui ont l’air vieilles
Des nagas pas très accueillants ornent l’escalier d’entrée: le temple de style lanna est perché sur une petite colline.
Le bâtiment principal, le viharn, est orné de peintures estimées au 16ème siècle.
Il s’agit d’une structure en bois, soutenue par des troncs de teck énormes, ouverte sur les côtés.
Les tons, en majorité rouges et dorés, sont très harmonieux. Les réfections ont préservé la sobriété de la décoration: c’est splendide.
L’extérieur est moins coloré (un bâtiment annexe ci-dessous), sans doute ‘lavé’ par les intempéries, mais c’est vraiment comme cela que je préfère ces vestiges.
Le Chedi est sobre lui aussi, en bois foncé, orné de panneaux dorés et d’un tissu orange caractéristique du bouddhisme. Très différent du Doï Suthep et finalement, là, j’aime beaucoup les deux
Cette petite annexe est réservé aux hommes. Du coup, Xavier et Maxime ont joué les reporters pour nous ramener ce cliché témoignant du principal intérêt pour les non pratiquants que nous sommes: un petit trou qui permet d’avoir une vision inversé du Chedi (principe de la chambre noire). Le véritable intérêt pour les bouddistes c’est la relique qu’il referme: une empreinte de bouddha
Dans le jardin, un arbre sacré est soutenu par des centaines de tuteurs:
Un ensemble très photogénique