Denis Trierweiler
C’est un grand coup de latte qui vient d’être balancé sur la tête de Valérie Trierweiler aka Valérie Massonneau. Denis Trierweiler, ex-époux ou futur ex-époux (la rumeur raconte qu’il n’y a jamais eu divorce entre lui et Valérie), aurait exigé que Valérie Triereweiler ne porte plus son nom. De façon pétaradante donc, il sort de l’ombre. Elle devrait donc choisir finalement un patronyme qui sied à sa personnalité, Tweeter ou Thriller. Nous ne dirons pas Rottweiller comme cet élu UMP.
Dans la journée d’hier, Thomas Hollande, fils aîné du président et de Ségolène Royal, avait déjà répondu au tweet de Valérie “Tweeter” en ces termes rapporté par le journal Le Monde: “J’ai un compte, mais je ne l’utilise pas. Ajoutant, “François ne me fait pas confiance sur mes tweets”. Une façon explicite de dire au monde entier que sa belle-mère, que dis-je, la maîtresse de son père, est ridicule. Une façon aussi de venger sa mère mais, un constat: si le fiston ose se glisser sur ce terrain, c’est que Valérie Massonneau est en délicatesse auprès de François. Mais, n’allons pas vite en besogne, le président a probablement été secoué par l’humiliation du tweet de sa maîtresse mais, ce n’est pas la fin du monde…
Cette histoire de tweet qui amène Denis Trierweiler à vouloir protéger son patronyme au nom des 3 fils qu’il a eu avec Valérie Trierweiler, est la pire des choses dont Hollande ne pouvait imaginer la portée réelle. C’est une très mauvaise nouvelle pour le président normal, qui se retrouve finalement en porte-à-faux avec ses enfants, sa compagne Valérie, son ex compagne Ségolène Royal, et les cadres du Parti socialiste. Selon certaines indiscrétions, cette femme considérée par beaucoup comme acariâtre et surtout jalouse, est le maillon faible du président français.
Il faut avouer que le tweet de Valérie “Twitter” lui a valu quolibets, billets au vitriol, brûlots assassins et fâcheries des uns et des autres. La pauvre femme dont les Français, surtout les Françaises, détestent désormais en majorité, devrait porter des pompes orthopédiques sur mesure pour se déplacer, de peur de tomber sous les huées du public. Même si elle procède par des jérémiades, le mal est fait et par conséquent, on voit mal comment elle pourrait recoller les morceaux malgré ses salamalecs.
Affaire à suivre !