Je cite: " Une équipe mobile de cinq personnages intervient dans le paysage sonore. Pas de platine, pas de synthétiseurs, les "urbaphonistes" ne composent qu’à partir de ce qui est déjà omniprésent et que personne n’écoute : les bruits mécaniques de circulation, de ventilation, de climatisation, les corps et les conversations, et surtout le mobilier urbain, instrument, scène et accessoire de ce théâtre instantané. " La suite, (clic).
J'ai trouvé sur le net des images qui bougent et avec le son. (Voir en fin de billet).
J'étais en compagnie de Tat.
Cie Urbaphonix. Juin 2012, Paris.