Il paraîtrait...
Publié le 19 juin 2012 par Ericguillotte
- qu’il faut relire le pari de Pascal. "Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas: si vous gagnez, vous gagnez tout; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter." Et appliquons l’adage à tout, croyons au possible, au meilleur, au mieux que mieux, et, au lendemain d’élections multiples (et quasi interminables), croyons aux divers élus, tiens, pourquoi pas ! Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité, a-t-il ajouté, Blaise. Alors...
- que Ségolène a dit que "le coup a été rude" après qu’elle a vu s’éloigner le perchoir qu’elle désirait "ardemment". C’est pourtant elle qui, en parlant si vite et si tôt, a violé l’embargo ! Mais je ne trouve pas trace des déclarations du dit embargo sur les faits cités ! Nous cache-t-on sciemment des éléments de l’affaire ? La révolte doit-elle poindre ? En attendant, protégeons les embargos victimes d’abus ! Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité, a-t-il ajouté, ce bon Blaise. Alors...
- qu'après scrutation minutieuse et statistique des 577 occupants de l'hémicycle, le député français moyen est un homme, blanc, d’environ 55 ans, comme d'hab. Vous savez donc si, en fonction de votre sexe, de votre couleur de peau, et de votre âge, vous pouvez tenter, dans 5 ans, votre chance avec une relative chance de succès... ou non. A moins que les mentalités n’évoluent et que le changement-c’est-maintenant se poursuivent pour que les représentants du peuple ressemblent enfin au peuple. Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité, a-t-il ajouté. Alors...