Les Filles de Caleb – Arlette Cousture

Par Deslivresentrop @passionlecture

La trilogie consiste en: Le Chant du coq (1985), Le Cri de l’oie blanche (1986) et L’Abandon de la mésange(2003). 

Tome 1: Le Chant du coq

Le roman s’ouvre alors qu’Emilie est sur le point d’avoir ses premiers mauvais jours et qu’elle tient tête à son père à propos de la place des femmes dans la maisonnée. On la retrouve à ses seize ans, alors qu’elle déménage à Saint-Tite où elle va enseigner pour les six prochaines années, non sans avoir à charmer le village et à imposer son autorité à des jeunes qui ont presque son âge. Pendant ce temps, quelques soupirants se pointent le nez et Émilie choisira… avec lequel elle vivra des hauts et des bas à cette époque où l’on n’accouchait pas à l’hôpital, mais parfois dans la neige; où l’on ne s’éclairait pas souvent avec une ampoule, mais le plus souvent à la chandelle; où la médecine était impuissante à guérir de la maladie sinon de la mort; où certaines filles choisissaient le couvent comme moyen de fuite; où c’est à l’hôtel que les hommes allaient boire.

Tome 2: Le cri de l’oie blanche

Dans ce deuxième volet de la trilogie Les Filles de Caleb, c’est la fille d’Émilie, Blanche Pronovost, qui nous entraîne sur les chemins aventureux de sa vie. Blanche rêve de médecine et si elle vient à Montréal au début des années trente afin d’y suivre un cours d’infirmière, c’est toutefois en Abitibi qu’elle ira pratiquer le métier qui la passionne. À La Sarre, dans son dispensaire « confortable et sans richesse », elle sera appelée à relever les défis les plus inattendus, parmi une population durement éprouvée. Dans la froideur de l’hiver abitibien, Blanche croisera un sourire irrésistible qui lui donnera à penser que « son hiver venait de fondre ». C’est celui d’un Franco-Manitobain au sens de l’humour irrésistible, Clovis Lauzé…

Tome 3: L’Abandon de la mésange

Le dernier volet de la trilogie Les Filles de Caleb nous transporte à l’hiver 1958, alors que Blanche franchit le cap de la cinquantaine, entourée de ses deux filles, Élise et Micheline. Avec elles, nous traversons les trépidantes années soixante, puis les turbulentes années soixante-dix, pour suivre leur destinée jusqu’en 1992. Si la « mésange » qu’est Élise vit à Montréal avec sa mère et sa sœur, c’est de campagne que rêve cette citadine. Un séjour chez des amis fermiers de son père, les Vandersmissen, pourrait bien lui permettre de réaliser son idéal, sans compter que là-bas, dans cette maison au joli balcon fleuri, l’attend le plus beau garçon qu’elle ait jamais vu…

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J’ai grandi en regardant la serie televisee diffusee sur France 3 le samedi soir dans les annees 80. J’ai decouvert qu’un 3eme volet de la serie avait ete publie en 2003, du coup, j’ai decide de lire la serie. 

C’est plutot facile a lire et permet de voyager a travers l’histoire du Quebec rural et urbain.