Certaines étapes de la vie peuvent être source de grandes angoisses : l’adolescence, où nous cherchons notre place. La vieillesse, où nous craignons de la perdre.
La peur de vivre, la peur de mourir ne cessent de se succéder.
Ils sont alors l’arbre qui cache la forêt et nous protègent d’inquiétudes profondément métaphysiques.
« Pour l’être humain, rien n’est plus dur à supporter que la question du monde. La mort – que l’on nomme la finitude – et la difficulté d’être deux – que l’on nomme l’incomplétude – nous terrorisent. »
Et il en va de même pour l’état de la planète, la guerre ou la maladie.
Dans ce cadre-là, les difficultés amoureuses peuvent nous apaiser et nous aider à nous sentir vivants.
L’important est ensuite de les régler.
Afin d’accéder à un bonheur si fort qu’il nous aide à vivre vraiment et pleinement notre existence.
Seul(e) ou à deux.