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Par Bernard Bujold (LeStudio1.com) -
Je connais très bien Jacques Duchesneau qui fut à une époque mon compagnon d'équitation sur le Mont Royal; un ami de mon mentor Ben Weider (1923-2008); et le patron d'un ex-policier qui a fréquenté "ma soeur" pendant quelques années.
Jacques est au profond de son âme un "policier de carrière" qui n'a jamais accepté son échec à la mairie de Montréal en 1998. Il ne comprend pas que les électeurs ont choisi Pierre Bourque. L'explication est pourtant simple: il a commis les mêmes erreurs que Mario Dumont qui aurait pu devenir Premier ministre s'il avait été plus 'conciliant". D'ailleurs, Jacques Duchesneau a cessé de me parler et il a coupé tous les contacts vers 2009 lorsque j'ai voulu le convaincre que Pierre Bourque était un bon gars... Jacques est très "soupe au lait..." et, comme dans le cas de Mario Dumont, c'est son point faible! Il est évident que Jacques Duchesneau profite de la Commission Charbonneau pour régler des comptes.
La question: Est-ce qu'il va y avoir des accusations contre lui (par le Gouvernement Charest) pour avoir illégalement dévoilé son rapport confidentiel à Radio-Canada?
Si on était aux États-Unis, Jacques Duchesneau se présenterait aux prochaines élections provinciales du Québec!
À suivre...
Photo 1 et 2: Jacques Duchesneau ;
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