«Je pensais avoir tourné la page mais la passion est toujours là, explique Pajot. L'envie de revenir dans la Coupe de l'America m'est venue à la seconde où Alinghi a gagné la dernière. Cela a été une réflexion qui s'est mûrit et s'est construite peu à peu». Les deux principaux collaborateurs dont il veut s'entourer ont un passé brillant en Coupe de l'America. Philippe Presti était le skippeur et le barreur du défi français lors de la précédente édition de la Coupe, en 2003 à Auckland (Nouvelle-Zélande). Quant à Bertrand Pacé, il a déjà navigué pour quatre syndicats français en Coupe Louis-Vuitton (1987, 1992, 1995 et 2000) et, deuxième barreur de l'ex-defender Team New Zealand en 2003, il avait pris la barre pour la dernière régate de la Coupe de l'America, sans parvenir néanmoins à faire échec au Suisse Alinghi. (Avec AFP)
«Je pensais avoir tourné la page mais la passion est toujours là, explique Pajot. L'envie de revenir dans la Coupe de l'America m'est venue à la seconde où Alinghi a gagné la dernière. Cela a été une réflexion qui s'est mûrit et s'est construite peu à peu». Les deux principaux collaborateurs dont il veut s'entourer ont un passé brillant en Coupe de l'America. Philippe Presti était le skippeur et le barreur du défi français lors de la précédente édition de la Coupe, en 2003 à Auckland (Nouvelle-Zélande). Quant à Bertrand Pacé, il a déjà navigué pour quatre syndicats français en Coupe Louis-Vuitton (1987, 1992, 1995 et 2000) et, deuxième barreur de l'ex-defender Team New Zealand en 2003, il avait pris la barre pour la dernière régate de la Coupe de l'America, sans parvenir néanmoins à faire échec au Suisse Alinghi. (Avec AFP)