METTRE FIN A LA SOUFFRANCE
L’homme vit la souffrance à travers le monde à des degrés divers : guerre civile, guerre étrangère, maladie, famine…
Mieux que le bon sens, la souffrance est la chose – au monde - la mieux partagée à notre époque.
Cela est compréhensible et s’explique par LA HAINE.
La haine de soi, que l’on transpose sans état d’âme sur l’autre, vu comme l’ennemi, la contrainte inutile.
Chacun ne s’aime pas assez pour aimer franchement, c’est-à-dire sans hypocrisie ni faux fuyant, le voisin. Par conséquent, au lieu de vivre, d’assumer son rôle d’être vivant, d’animal social, chacun s’évertue à monter des plans machiavéliques pour la chute du voisin, à travers laquelle nous ferions de voir la nôtre.
La question fondamentale devient celle-ci: Le malheur du voisin fait-il vraiment mon bonheur?
La réponse à cette interrogation-considérée comme absurde- en connaissance des évidences acquises, n’est pas aussi évidente et aussi directe que oui ou non.
En effet, dans le projet de destruction ourdi contre le voisin, se trouve notre souffrance, notre auto flagellation dont le remède est le même depuis la nuit des temps: l’amour.
Pour connaître la joie de vivre, il faut être en paix avec soi-même, il faut s’aimer ; alors qu’en vouloir à son voisin, c’est être préoccupé à ruminer sa haine, donc à ne pas connaître la paix.
Or nous vivons dans un monde ou travailler contre l’autre est le maître mot. Voici la raison de toutes les souffrances, de toutes les guerres, les maladies, la peur, la non-vie.
Revenons et sans faiblesse à l’essentiel : L’AMOUR. Amour de soi, amour d’autrui, amour de la vie. REMEDE de notre aurore.
Paul ADOMBY