Et bien non : pour cette seconde et d'ailleurs dernière "carte postale de Snæfellsnes", je ne le ferai pas. Je n'exploiterai pas le procédé de ces blogueurs à cours d'inspiration qui aiment à détailler leurs parcours de vacances en nous gavant d'informations qui confinent dans le meilleur de cas au descriptif d'une fouille archéologique entreprise par le créateur des Pages Jaunes, dans le pire à une évocation chronologique des sites visités entrecoupée de qualificatifs d'une niaiserie enjouée ("comme c'était beau !", "j'ai jamais rien vu de pareil !" etc.). Alors plutôt que de vous conter par le menu les étapes de cette balade de quelques jours en vous citant les noms des lieux en "ur", en "ir", en "ik" voire en "önd" qui l'ont jalonné et que de toute façon vous ne parviendriez pas plus à prononcer qu'à lire, je me contenterai de m'en tenir au titre de cet article. Autrement dit, je vous laisse admirer les photos (qui à mon humble avis compensent largement l'absence de commentaires).