On s’était bien dit, en la voyant déambuler aux côtés du président normal, que son port altier et son regard noir ne devaient pas être synonymes de gentillesse.
Quand on décortique les dessous du fameux tweet, on doit se résoudre à constater qu’il a été provoqué par une conjugaison de bêtise, de méchanceté et de jalousie.
Le tout sans la moindre pensée pour les conséquences politiques qu’il pourrait avoir.
Devant tant de risques potentiels, il serait normal que le nouveau président interdise la première dame de palais élyséens et autres fonctions pseudo-officielles.