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L’Edito : Signé Robin Van Persé

Publié le 13 juin 2012 par Levestiaire @levestiaire_net

Van Persie et son équipe de cadors est passé au travers. Cassano, lui, n’aime pas les hommes qui passent à travers. Qui l’eut cru ?

L’Edito : Signé Robin Van Persé

Il était environ 20h30 hier soir, Michel Denisot avait eu le flair d’organiser une spéciale Euro. En plateau comme toujours le gratin : Guy Roux, Franck Annese, Pape Diouf et Steve Savidan. Ca claque ! Et en plus on s’est presque pas fait chier.  C’était largement aussi impressionnant que les oranje pressés d’atomiser la grande Irlande du Nord en amical bien sûr, à peine moins sereins contre le Danemark une semaine plus tard. Et pourtant voyez plutôt : le meneur de jeu de Tottenham quand la France a presque celui de City, la star de l’Inter de Mourinho et de la Hollande de 2010 mais aussi de l’Inter de 2012, un joueur de Liverpool toutes époques, le type qui n’a marqué ni lors de la finale 2010, ni pour celle de 2012, un ailier qui jouerait à Barcelone, le fameux meilleur buteur d’Arsenal et bientôt de l’Euro sans doute, et l’autre fameux meilleur buteur qui ne comprend pas pourquoi Schalke serait plus nul qu’Arsenal. Effectivement la question mérite d’être posée. Une autre question aussi d’ailleurs : qui peut renoncer au Tour de France à cause d’une fracture du bassin ? Le tenant du titre depuis le mois dernier évidemment. Le vélo n’est plus ce qu’il était, Hamilton doit se retourner dans sa tombe. A croire que  le prénom Andy ne donne pas toujours droit au prix nobel de médecine.

Oranje et noir

Sauf pour l’autre Andy qui gagne sans jamais gagner : Murray qui a eu tout loisir de préparer Wimbledon en regardant les autres meilleurs joueurs du monde se disputer le tournoi préféré de la légende de l’ovalie Jean Gachassin. Qu’un rugbyman dirige le tennis français c’est pas plus con qu’un lutteur en athlétisme. Et puis c’est pas si grave, ça fait les mêmes résultats dans les deux sports. Une Coupe Davis en 12 ans,  2 titres mondiaux individuels sur la même période, on ne va pas compter les relais quand même. A la décharge de Forget, il n’avait qu’une occasion par an alors qu’en athlé c’est tous les 2 ans et les Jeux tous les 4. C’est pas avec le rugby qu’on va égayer tout ça.

Pendant ce temps-là Gomis aurait fêté les 4 ans de son doublé par un autre doublé. Il a démenti mais lequel ?


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