Un directeur en cavale

Publié le 13 juin 2012 par Veritejustice @verite_justice

 LA GRANDE QUESTION DU JOUR

Es-ce qu’un directeur général peut se cacher longtemps avant que la justice le rattrape ?

Commençons par dire que cet article sera ponctué de plusieurs liens du site afin que vous puisiez être en mesure de vous faire votre propre opinion des faits avant que la justice se mette encore une fois à me taper dessus pour que vous puissiez être en mesure de connaître la vérité.

Dîtes vous une chose avant de fermer la page sans avoir lu. Dîtes vous que nuls citoyens du Québec n’est à l’abris si son directeur décide de s’acharner sur lui.

Commençons par dire que le personnage est comptable agrée et que malgré une plainte formelle à l’effet qu’il autorisait l’évasion fiscale de l’entreprise à L’Ordre des comptables agrées du Québec suit son chemin même si c’est long et que l’Ordre ne semble pas prendre la chose au sérieux. Voir l’article

Remarquer que Revenu Québec et/ou La commission Charbonneau ne fait pas plus le travail et que la théorie de l’arbre s’applique largement. Voir l’article

Entre temps les entreprises du genre appartenant à Frank Catania continuent d’acheter les produits de mon ex employeur. Faut quand même pas se leurrer si ces entreprises font réellement ce qu’elles sont accusées de faire, il y a bien une entreprise qui leur à vendu les produits…..

Je ne parlerai pas de Monsieur Accurso non plus alors faites comme si vous ne le savez pas…..

Regardons maintenant les parjures du personnage. Voir l’article

Note: Les entreprises Accurso et/ou Catania ne sont pas mon problème et je ne juge pas leurs affaires.

Vous constaterez à la lecture de l’article que le personnage s’est parjuré 5 fois à l’intérieur de ses affidavits mais que je vous avisais aussi qu’il s’est parjuré pas mal plus que çà mais je n’en parlerai pas ici.

Ensuite ce fut sa participation à la première fausse preuve. Voir l’article

Si vous êtes moyennement observateur vous avez surement remarquer 2 parjures supplémentaires.

Terminons avec 3 fausses preuves supplémentaires. Voir l’article

Vous savez le plus drôle dans cette histoire ? Depuis janvier 2012 que j’essais de démontrer cela à la Cour Supérieure du Palais de justice de Montréal et on ne me laisse pas parler alors que le 11 juin 2012 pendant que j’en expliquait le quart à un décideur de la CSST qui lui était curieux de savoir, l’avocat mettait un stop magistral à l’audience pour sauver mon ex directeur. Voir l’article

Rappel des accusations possibles

Je tiens à préciser le mot possible alors que la Police de Montréal me disait: