Plusieurs rumeurs ont circulé sur le futur de RIM. Malgré le fait fait de perdre peu à peu ses parts de marché, l’entreprise garde toujours un de ses clients les plus importants. Le gouvernement étatsunien continue d’acheter la plupart de ses téléphones à l’entreprise canadienne. Comme on s’y attendait, la sécurité est le facteur retenu. RIM a jusqu’alors répondu aux attentes des employés du gouvernement, la protection des données étant essentielle.
De fait, ce fut « un des facteurs les plus importants depuis le début« , précise Scott Totzke, vice-président de la sécurité chez BlackBerry.
Selon Washington Technology, à mesure que le gouvernement accepte de nouveaux dispositifs technologiques, la necessité d’une infrastructure sécurisée grandit. Avec son Mobile Fusion Device Management Software, RIM cherche à aider les entreprises et gouvernements à gérer leurs plateformes et dispositifs de téléphonie mobile.
Un des grands défis des nouveaux dispositifs (smartphones) provient du fait que les fabricants utilisent du code open source, comme WebKit, pour développer leurs programmes. Ainsi, une attaque pourrait affecter l’ensemble de l’infrastructure technologique de l’entreprise, ce qui rend indispensable l’utilisation de solutions pour minimiser les risques de sécurité.
En outre, à mesure que les applications deviennent complexes, elles génèrent de nouveaux risques de sécurité. RIM -selon Totzke- donne aux utilisateurs la possibilités d’activer (ou non) des fonctionnalités sensibles comme la géolocalisation.
Les résultats de cet effort de securité sont visibles. Récemment, le département de la défense des Etats-Unis a donné son accord pour l’utilisation de BlackBerry 7.
Lu et traduit (c’est long !) depuis Enter.co