"Mais de quoi se mêle-t-elle ?" se demande Jean-Louis Bianco. "C'est indigne", s'insurge Daniel Cohn-Bendit. Le tweet de soutien de Valérie Trierweiller à Olivier Falorni a engendré un véritable psychodrame à gauche à cinq jours du second tour des législatives.
La première Dame a crée la stupeur en apportant ses encouragements au dissident du PS qui a décidé d'affronter Ségolène Royal à la Rochelle. Dans une interview accordée à Femme Actuelle il y a quelques semaines, Valérie Trierweiler disait : " François me fait totalement confiance sauf sur mes tweets".
Depuis l'élection de François Hollande, la première Dame a répété qu'elle n'avait pas l'intention d'être une potiche. Mais de là à s'ingérer dans la vie politique...