Pour peu, que la plénitude des moyens intellectuels, ainsi que le confort d’esprit, s’offrent à nous, dans cette chaude empoignade politique, en référence à l’entre deux tours des élections législatives en France, pour réel et illustratif paraîtront le désir d’y apposer, une marque distinctive aussi bien de par sa portée, que par la vocation qu’elle pourrait incruster, dans le creux de l’âme du vivant.
Ainsi, d’une approche qui se veut inclusive, à celle englobant, l’ensemble des aspects caractéristiques des données factuelles et techniques, l’analyse qui germe en moi, saborde quelque peu, l’acception fait du choix par les électeurs, dans leur élan d’adhésion, aux différents projets.
Par ailleurs et quoi que, le libre choix, constitue un déterminant essentiel en démocratie, il n’en demeure pas moins, qu’il doit se justifier par son niveau de résorption des difficultés du vécu, à l’heure bien évidemment où la crise de conscience se mue pâteusement encrée dans le script, quand celle des procédés de gestion démocratiques s’érodent, avec en toile de fonds la fuite en avant, devant le devoir absolu, qu’est et demeure, le sacre dévolu à la capacité et l’aptitude à redresser, les finances publiques, face à la crise, laquelle crise rend exigu et hypothétique l’avenir, puisqu’elle pousse plus loin, les élites politiques des états dans le carcan du désaveu, de la crise de confiance et à des divergences absolument à l’origine de la montée de la haine de l’autre, profil atypique de l’extrémisme.
En outre, la véritable brèche qui s’ouvre, au cours de telles compétitions politiques, sert à élucider, le niveau de jonction des valeurs, lorsque de la peur de l’Europe, à la stigmatisation des quartiers populaires, la configuration du parlement ne parvient à refléter, le sentiment d’appartenance commune qui sou tend l’action publique.
A ce titre, le véritable défi populaire, dans ce cas de figure, porte non sur les enjeux reposant sur les aspects techniques, qui font errer la France de la récession à la stagnation économique, mais sur des considérations émanant uniquement des agrégats sociaux, ce qui compliquent d’avantage l’incompréhension de l’origine des problèmes. Raison suffisante, pour que la politique non seulement se déprécie, mais aussi et surtout que l’élection se ramène, au seuil de l’imperfection et d’une visée purement et simplement électoraliste.
Quoi qu’il faille, en déduire, le PS semble en passe de se constituer une majorité parlementaire suffisante pour mener à terme, ses objectifs, lesquelles, s’inscrivent d’ailleurs, tout en porte-à-faux, à la vision déclinée cette dernière décennie par la droite. Ce phénomène d’encrage périodique des politiques publiques, comporte des coûts quelque fois nourris que par la divergence politique, mais non objectivé forcement par des choix judicieux, raison pour laquelle, un rééquilibrage des forces politiques devant configurer, la future assemblée peut être souhaitable, autrement, un resserrement des écarts, afin que l’action publique, s’offre à chaque fois qu’il en est question, des marges de manœuvres favorables au consensus, source avérée et arme essentielle, pour éradiquer les effets néfastes de la crise, rééquilibrer le budget au plutôt par des mécanismes d’assouplissements qui fédèrent les objectifs, promouvoir la compétitivité de l’économie, puisque de la fiscalité incitative à l’investissement à celle de la relance de la productivité, on est partagé entre taxer le capital ou l’effort de travail, cordon et noeud de la résolution des problèmes actuels et selon que l’on soit de droite ou de gauche.
A cet effet et en marge de l’analyse cohérente de la grappe d’ascension conférée par l’économie aux pays, vue qu’elle sert de tremplin par les capitaux qu’elle génère à la réalisation des objectifs de développement à tout point de vue, la montée du front national, au sein de l’électorat peut se concevoir, à travers deux aspects, dont celui requérant mon attention, qui n’est autre que la logique démocratique que nous impose l’homogénéisation de l’échiquier politique, mais non à mon sens, la propension et les valeurs qu’elle entend se faire tiennes.
D’ailleurs, on peut y rajouter, les incohérences des politiques publiques et le manque de réalisme, dans l’approche faite des questions majeures, telles que la crise économique actuelle.
En revanche, ces élections qui approchent à pas de géant, mélangés aux présupposés qui en résultent, font gester, des prises de position à multiple dimensions, notamment, l’égalité des territoires, la défense de l’intérêt public et l’extension des droits liés à la citoyenneté, pour ceux qui en ont droit, car la construction de la France de demain, passera par ce sentier….
à suivre
Je ne dois rien au front national