Voilà un photographe qui montre une réalité lissée, au premier abord. Drôles ces portraits, ces maisons qui volent, épatant ce stade rose, ces chevaux en bois sur un hippodrome. Puis on perçoit des visages cabossés, empreints de souffrance, des maisons misérables, un stade dans une zone désolée et des chevaux qui ne sont autre qu’un jeu pour grands, pour leur faire oublier…